Djor Fattan, ville de l'Inde, IV, 82.
Son sultan, 83. Djoûbân (Al), ou Altchoûbân, émîr, I, 172. Son titre honorifique était Seif eddin, 254.-Nommé, 400; II, 33, 117, 118, 119. - Sa mort, 120. Djouddah, ou Djidda, ville, I, 304; II, 153. Description, 156 et suiv. Anecdote, ibid. 250; IV, 324. Djoûdy (Al), montagne sur laquelle s'arrêta l'arche de Noé, II, 139. Djoul (La porte de), ou Gul, à
Djoula, et au singulier djály, poetes,
chez les nègres, IV, 413. Djoum'ah (Le cheïkh), chef de la population musulmane, à Abou Séroûr, ou Barcelore, IV, On l'appelle aussi Abou Sittah, ou le père des six, 77, 78. — Sa générosité, 78. Djoumna, fleuve dans l'Inde, I, 79; III, 169, 296; IV, 29, 37, 212. Djoûn, fleuve de l'Inde, I, 79; III, 169. C'est la Yamouna, ou Djoumna, ibid. Voy. Djoumna. Djozz, sorte d'étoffe de soie colorée, IV, 2, 3.
cuivre, I, 405. C'est le plu- riel de dest, ibid. — Dest signifie aussi plat, ou assiette, IV, 292, 293.
Doldjy attatary, un émîr du l'Inde, III, 317.
Dôme de la révélation divine, à la Mecque, I, 326.
Domoûr Khân, sultan de Balikesry, II, 317.
Doncoûl, prince hindou de Koù- kah, IV, 61.
Donkolah, la ville principale des Nubiens, IV, 396.
Donkorah, espèce de bassin de cui- vre, usîté aux îles Maldives, et que l'on frappe avec une baguette de fer, IV, 145, 146. Douaiguîr, ou Dioûguîr, forteresse de Daoulet Abâd, voyez Daoulet Ábad. Doûghâ, nègre et drogman, à Mâlly, IV, 398, 402, 404, 405, 407.
-Ses chants, ses jeux, ses exer- cices d'escrime, etc. 411 et suiv. Nommé, 418.
Doughy, sorte de millet, chez les Turcs, II, 364, 365, 367, 386, 415; III, 2.
Dounb (Le golfe du), à Mandja- roûr, ou Mangalore, IV, 79. Dounia Khâtoûn, II, 1 117,144.
Son couvent à Azof, 369.- Sa mosquée à Koûkah, dans l'Inde, IV, 61. Voyez aussi Khidhr, ou Alkhadhir. Émèse, ville, voyez Hims. Émir Bakht, voyez Chéref almoulc, alkhoráçány, etc.
Émîr Émîrân, ou le grand émîr, alcarmâny, un ami d'Ibn Bathoû- thah, dans l'Inde, III, 347. Sa mort, ibid. Emir Hadjib, ou prince chambellan, dans l'Inde, III, 288, 289. - II est le fils de l'oncle du sultan Mo-
213, 214. 215. Fakhr eddin, fils d'Arrîghy, kâdhi d'Alexandrie, I, 34. - - Anecdote au sujet de l'aïeul de ce person- nage, 34, 35, 36. Fakhr eddîn, fils du cheikh Chihâb
Espions, chez le sultan de l'Inde, Mohammed Châh, III, 343 et
Esthamboûl, portion de Constanti-
nople, ville, II, 431, 437. Étang des pois chiches, ou Ghadir alhummis, au dehors de la ville de Fez, IV, 352.
Étel, ou Itil, fleuve, voyez Volga. Euphrate, fleuve, I, 78, 79, 148,
413, 414; II, 2, 16, 96. Ézéchiel, ou Hizkîl, le prophète, III, 62. Son mausolée à Balkh, ibid.
eddîn alcâzéroûny, ou du supé- rieur de l'ermitage de Calicut, IV, 103.- Fakhr eddîn est supé- rieur d'un ermitage à Caoulem, ibid.
Fakhr eddin alkobthy, kâdhi, etc. au Caire, I, 87. — C'était d'abord un chrétien copte, mais il a em- brassé l'islamisme, ibid. 88; II, 152.
Fakhr eddîn alkobthy, ou alkibthy, le Copte, substitut du juge châ- fi'ite, à Damas, I, 218-219. Fakhr, eddîn annouaïry, le mâli- kite, juge à Moniat Ibn Khacîb, I, 100.
Fakhr eddîn, Ibn Meskîn, kâdhi, à Demenhoûr, en Egypte, I, 49,
Fakhr eddîn 'Othmân, juge, à Cali- cut, IV, 89.
Fál, ou sept cents cauris, aux îles
Maldives, IV, 121, 122. Falakiyyah (Al), nom d'une école, ou collége, à Tibrîz, III, 394. Fameldary, nom que l'on donne, dans les îles Maldives, au chef de la trésorerie, IV, 134. — Il a aussi le titre de vizir, ibid. 139. Fandaraïnâ, ville de l'Inde, II, 177; IV, 88, 96. Fandayarkâloû, nom que l'on donne
Fath eddîn, fils de Dakîk Al'îd, pré-
dicateur célèbre, I, 107. Fâthimah, fille d'Açad, fils de Hâ- chim, et mère d'Aly, fils d'Abou Thâlib, I, 288. Son tombeau à Médine, ibid. Fathimah, fille de Mahomet, I, 264, 289. Place de sa nais- sance, à la Mecque, 326. Fathimah, fille de Tâdj eddîn, Abou'lhaçan 'Aly, fils d'Aly, fils d'Abou'lbedr, pieuse cheikhah, II, 110.
Fathimah, sœur de la souveraine des îles Maldives, appelée Kha- didjah, IV, 131.
Fattan, ville dans le Ma'bar, ou Co- romandel, IV, 191. Descrip- tion, 198, 199. Curieux dé-
Fawwâ, ville en Égypte, I, 50. Fayyadh, fils de Mohanna, fils d'lça, émîr des Arabes, I, 409,
Fázániyah, nom que l'on donne,
dans le Yaman, aux domestiques qui ont soin des cocos ou des co- cotiers, II, 209.
Féciféça, ou Foçaïfiçâ (du grec ↓ñ- Cos), mosaïque, I, 199; II, 428, 439.
Fénîcah (Phineka), ville de l'em- pire grec, II, 420, 421. Féouait (Al), ou les prières satis- factoires, I, 212.
Féouârah (Al), ou le jet d'eau, I,
Férary, et au pluriel Férariyyah, nom des commandants, chez les nègres, IV, 404, 407.
Ferba, c'est-à-dire vice-roi, ou lieutenant, chez les nègres, IV, 385.
Ferbâ Hoçain, vice-roi à fouâlâten, IV, 385.
Ferbâ Maghâ, nègre et pèlerin,
gouverneur d'un bourg, dans le Soundân, IV, 426, h27. Ferbâ Moûça, gouverneur de Ton- boctoû, IV, 430, 431. Ferbâ Soleïmân, homme de mérite et pèlerin, gouverneur d'une lo- calité dans le Soûdân, IV, 432 et suiv. Curieux détails, 434, 435.
Ferghânah, ville, III, 311. Férîd eddîn (Albédhâouny), reli- gieux dans l'Inde, I, 38. - Dé- tails sur ce personnage, III, 135, 136. Ses fils, Mo'izz eddîn et 'Alam eddîn, 136. Le tom- beau de son aïeul, Férîd eddîn albédhâouny, à Adjoûdéhen, dans l'Inde, ibid. 460 (notes).
Férîd eddîn albédhâouny (Chéker Guendj), santon dans l'Inde, III, 136, 460 (notes). · Son tom- beau, ibid. Fez, ou Fes, ville, II, 369, 382; IV, 332.- fique mosquée, 352. appelée aussi la ville blanche, ibid. Son grand collége et son er- mitage, ibid. Nommée, 376, 448, 449. Fidâouiyah (Al), ou Fidâouis, voy. Ismaéliens.
Fîroûz, cousin du sultan de la Chine, Pàchâï, IV, 299. Sa révolte, ibid. Il s'empare du pouvoir, 303. - Guerre civile, 304. Fîroûz, gendre du sultan Terma- chîrîn, III, 43.
Firoûz albadakhchâny, comman- dant de Canoge, IV, 25, 26. Firoûz Châh (Nauroûz), II, 120. Sa mort, ibid.
Firouz Khondah, ou l'heureuse maî- tresse, sœur du sultan de l'Inde Mohammed Châh, III, 273. Firoûz Mélic, cousin germain du sultan de l'Inde Mohammed Châh, son lieutenant, et chef su- prême des chambellans, III, 221, 230, 289, 348. Voyez aussi Emîr Hâdjib, etc. Fîroûzân, ville, II, 42. Fitnayec, nom que l'on donne au magistrat de police, dans les îles Maldives, IV, 134. Il a aussi le titre de vizir, ibid.
Gabriel (L'archange), I, 116, 274. Galata, partie de Constantinople, ville, II, 432, 437. Gâlyoûr, Gouyalior, ou Gualior, for- teresse, III, 188. — Détails, 194, 195. Nommée, 333; IV, 6, 32, 33.
Gange, fleuve de l'Inde, I, 79; III, 141, 142, 295, 320, 341, 444; IV, 212.
Fleuve bleu, qui descend des mon- tagnes de Câmaroû, ou du pays d'Assam, IV, 222, 223. Fodhail (Bénou), I, 101. Fontaine des larmes, à Grenade, IV, 369.
Fosse aux rats, à Douaiguîr, forte- resse de Daoulet Âbåd, IV, 47.
Anecdote, 47, 48. Fostbâth, le vieux Caire, ou Misr, I, 74, 81, 94, 99, 229. Foûdjah, ou Phocée, ville de l'Asie Mineure possédée par les Génois, II, 314.
Foulons (La rivière des), à Samar- kand, III, 52.
Foûny, espèce de graine chez les nègres, IV, 394.· Cette graine est, pour les blancs, meilleure que le riz, ibid. 398. Funérailles, dans l'Inde, III, 383 et suiv.; IV, 302. — A Pékin, 300 et suiv. Funérailles des rois en Nigritie, 302, 303.
Gattárak, sorte de javelot, usité dans Ghât (Le chemin de), en Afrique, et qui conduit en Égypte, etc. IV, 445. Ghaznah, ville, III, 88, 89, 149.
l'Inde, IV, 31, 32, 54. Gazza, Gaza, ou Ghazzah, ville, I, 113, 114; II, 254; IV, 320. La peste noire, et ses ravages dans cette ville, ibid. 322. Nommée, 326. Gerbi, île, voyez Djerbah. Ghaçânah, village situé au dehors de Zébîd, II, 171. Ghadamès, ville d'Afrique, IV, 436.
Ghiyâth eddîn addâméghâny, sou- verain du Ma'bar, ou de la côte de Coromandel, IV, 41. Dé- tails historiques sur ce prince, 188 et suiv. Il s'appelait d'a- bord Siradj eddîn, 189. 11 épouse la fille du sultan et chérîf Djelâl eddin (Ahçan Châh), et devient ainsi le beau-frère d'Ibn Bathoûthah, 190. — Sa cruauté, 192 et suiv. Il remporte la vic- toire sur les Hindous, 195-198. Sa mort, 202 et suiv. Ghiyâth eddin Balaban, roi de l'Inde, I, 363, 364; III, 168, 169. -Son histoire, 170. Anecdote, 171 et suiv. Sa mort, 175. Ghiyâth eddîn Béhâdour, fils de Nâ- cir eddîn, et petit-fils du sultan Gbiyâth eddîn Balaban, III, 179.
Il est appelé Bourah, ou le Noir, et devient roi du Bengale, 210.-Il est fait prisonnier, 210, 211.- -Puis mis en liberté, 316.
Il est tué et écorché, 317, 321; IV, 213. Ghiyâth eddîn Khodhâouend Zâdeh, fils de l'oncle paternel de Kïouârn eddîn Khodhâonend Zâdeh, qui était juge à Tirmidh, et qui s'est ensuite fixé dans l'Inde, III, 393.
Ce Ghiyâth eddîn était très- honoré par le sultan de l'Inde, 393, 394.- Nommé, 398, 399, 413 et suiv. Ghiyâth eddin Mohammed, fils de 'Abdalkâdir, ou 'Abdalkâhir, fils de Yoûçof, fils d'Abdal'azîz, fils du calife Almostansir Billah, l'Ab- bâcide, émîr à Dihly, dans l'Inde, I, 365; III, 54, 146. · Il est nommé le Fils du calife, 258. De son arrivée chez le sultan de l'Inde, et de ses aventures, 258- 263.-Le sultan l'appelle Makh- doûm Zadeh, ou le fils du maî- tre, 264. Anecdotes sur le respect que le sultan avait pour ce Ghiyath eddin, 263 - 266. Di-
verses anecdotes sur l'extrême avarice de Ghiyâth eddîn, 267-
Ghiyâth eddîn Mohammed, fils du khodjah Rachîd, vizir, II, 116. -Son père était un juifémigré et ministre du sultan de l'Irâk, ibid. Ghiyâth eddîn Toghlok Châh, roi de Finde, I, 424. · Son histoire, III, 201-215.-Il est surnommé le Roi belliqueux, 202.- Son fils Mohammed médite contre lui une rébellion, mais son projet avorte, 208, 209.-Marche de Toghlok vers le pays de Lacnaouty, et ce qui s'ensuivit, jusqu'à sa mort, 210 et suiv. Sa mort, 213, 214. Nommé, 318, 322. Ghoûthah, ou campagne de Damas, I, 189; IV, 279: Gibraltar, ou Djebal Thárik, ville, I, 429.-On l'appelle aussi la Mon- tagne de la victoire, ou de la con- quête, IV, 354.- Description, ibid. et suiv. - Renseignements historiques importants, 356-360. -Vers sur Gibraltar, 361 et suiv.
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