Voyages d'Ibn Batoutah, texte arabe, accompagné d' une tr. par C. Defrémery et B.R. Sanguinetti. 4 tom. [and] Index alphabétique, Kolièina 3

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Stran 5 - Jt (_»5ljJlL oty^l pl»l rezm fait le tour des maisons occupées par des voisins de sa mosquée, afin d'avertir ceux-ci d'assister à la prière. L'imam frappe , en présence de toute la communauté , quiconque a manqué à la prière faite en commun : il ya un nerf de bœuf, suspendu dans chaque mosquée, pour servir à cet usage. Outre ce châtiment, le délinquant doit payer une amende de cinq dinars, qui est appliquée aux dépenses de la mosquée, ou employée à nourrir les fakirs et les malheureux....
Stran 148 - Il se trouve aussi dans ces chambres des magasins de vivres que l'on appelle anbâr« greniers », des magasins pour les munitions de guerre , et d'autres consacrés à la garde des mangonneaux et des ra'âdâh (littéral.
Stran 84 - qui tue les Indous », parce que beaucoup d'entre les esclaves mâles et femelles que l'on emmène de l'Inde meurent dans cette montagne, à cause de la violence du froid et de la quantité de la neige.
Stran 52 - Cest près de cette rivière que se rassemblent les habitants de la ville, après la prière de quatre heures du soir, pour se divertir et se promener. Ils y ont des estrades et des sièges pour s'asseoir, et des boutiques où l'on vend des fruits et d'autres aliments. Il y avait aussi sur le bord du fleuve des palais considérables et des monuments qui annonçaient l'élévation de l'esprit des habitants de Samarkand. La plupart sont ruinés et une grande partie de la ville a été aussi dévastée....
Stran 15 - L'écorce du premier est verte et le dedans est rouge; son goût est extrêmement doux, mais sa chair est ferme. Ce qu'il ya d'étonnant, c'est qu'on le coupe par tranches , qu'on le fait sécher au soleil , qu'on le place dans des paniers, ainsi qu'on en use chez nous avec les figues sèches et les figues de Malaga; et, dans cet état, on le transporte de Khârezm à l'extrémité de l'Inde et de la Chine.
Stran 13 - Assindjary, dans une bourse portée par son page. Le change de cette somme en or du Maghreb équivaut à trois cents dinars. J'avais acheté ce jour-là un cheval noir, pour trente-cinq dinars d'argent, et je le montai pour aller à la mosquée. J'en payai le prix sur cette somme de mille dirhems. A la suite de cet événement, je me vis possesseur d'un si grand nombre de chevaux, que je n'ose le répéter ici, de peur d'être accusé de mensonge. Ma position ne cessa de s'améliorer, jusqu'à mon...
Stran 147 - C'est lui qui la bâtit; il avait eu l'intention de relier entre elles ces quatre villes par un seul et même mur; il en édifia une partie, et renonça à élever le reste, à cause des grandes dépenses qu'aurait exigées sa construction. DESCRIPTION DU MUR ET DES PORTES DE DIHLY. Le mur qui entoure la ville de Dihly n'a pas son pareil, ju&j il *Xj\Jo 8...
Stran 8 - Mo'tazilites; voy. t. II, p. a56); mais ils ne le laissent pas voir, parce que le sultan Uzbec et son vice-roi en cette ville, Kothloûdomoûr, sont orthodoxes. Durant le temps de mon séjour à Khârezm, je priais le vendredi avec le kâdhi Abou Hafs 'Omar, et dans sa mosquée. Lorsque j'avais fini de prier, je me rendais avec lui dans sa maison, qui est voisine de la mosquée. J'entrais en sa compagnie dans son salon, qui est un des plus magnifiques que l'on puisse voir. Il était décoré de superbes...
Stran 76 - ... il résolut de faire pénitence et de se réconcilier avec Dieu; mais il se dit en lui-même : « Si je dis à mes compagnons, qu'avant qu'ils fussent réunis chez moi j'avais fait pénitence.ils penseront que c'est par impuissance de les traiter.» Il fit donc servir les choses que ses pareils y_> -Jàlifl faisaient servir auparavant, tant mets que boissons, et lit mettre le vin dans les outres.
Stran 372 - Le manu, ou la mesure de froment, valait soixante drachmes et davantage; la gêne fut générale, la situation très-grave. Un jour je sortis de la ville à la rencontre du vizir, et je vis trois femmes qui coupaient en morceaux la peau d'un cheval , lequel était mort depuis plusieurs mois, et qui les mangeaient. D'ailleurs, on faisait cuire les peaux et on les vendait dans les marchés. Lorsqu'on égorgeait des bœufs, la foule s'empressait d'en recueillir le sang pour s'en nourrir. Des étudiants...

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