 | Victor Courtet - 1838 - 428 strani
...malheur des deux familles. § 6. Que les maris, quelque faibles qu'ils soient, considérant que c'est là une loi suprême pour toutes les classes, aient grand...lui-même et son devoir, en préservant son épouse. § 8. Le mari, en fécondant le sein de sa femme, y renaît sous la forme d'un fœtus, et l'épouse est nommée... | |
 | Guillaume Pauthier - 1840 - 804 strani
...faibles; si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux familles. 6. « Que les maris, quelque faibles qu'ils soient considérant...sous la forme d'un fœtus , et l'épouse est nommée DJAYA, parce que son mari naît (djâyaté) en elle une seconde fois. 9. « Une femme met toujours... | |
 | Confucius - 1852 - 806 strani
...faibles; si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux familles. 6. « Que les maris, quelque faibles qu'ils soient considérant...ses coutumes, sa famille, lui-même et son devoir, n préservant son épouse. 8. o Un mari , en fécondant le sein de sa femme, y renaît sous la forme... | |
 | Auguste Ditandy - 1856 - 188 strani
...sont essentiellement attachées a la fidélité de l'épouse (3). En effet, comme, suivant Manon, « un mari, en fécondant le sein de sa « femme, y renaît sous la forme d'un fœtus (4) ; » comme « une femme met toujours au monde un « fils doué des mêmes qualités que celui qui... | |
 | East - 1858 - 808 strani
...faibles; si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le mnlheur des deux familles. 6. « Que les maris, quelque faibles qu'ils soient considérant...son épouse. 8. « Un mari, en fécondant le sein de safemm«, y renaît sous la forme d'un fœtus , et l'épouse est nommée DJAYA, parce que son mari... | |
 | Adolphe Franck - 1861 - 538 strani
...« Si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux familles. — Que les maris, quelque faibles qu'ils soient, considérant...aient grand soin de veiller sur la conduite de leurs femmes2. » — « Une petite fille, une jeune femme, une femme avancée en âge, ne doivent jamais... | |
 | François Thomas Pillon - 1869 - 586 strani
...garde de ses enfants pendant sa vieillesse; elle ne doit jamais se conduire à sa fantaisie. — Que les maris, quelque faibles qu'ils soient, considérant...soin de veiller sur la conduite de leurs femmes.» (Liv. ix.) (1) L'esprit de caste, l'esprit aristocratique tend naturellement à réduire le rôle de... | |
 | 1869 - 560 strani
...garde de ses enfants pendant sa vieillesse; elle ne doit jamais se conduire à sa fantaisie. — Que les maris, quelque faibles qu'ils soient, considérant...soin de veiller sur la conduite de leurs femmes.» (Liv. ix.) (1) L'esprit de caste, l'esprit aristocratique tend naturellement à réduire le rôle de... | |
 | Frédéric baron de Portal - 1873 - 486 strani
...de l'âme est le fondement du droit ' de succession. Les antiques lois de l'Hindoustan disent : « Un mari, en fécondant le sein de sa femme, y renaît...sous la forme d'un fœtus, et l'épouse est nommée Djâyâ, parce que son mari naît (Djâyâté)en elle une seconde fois '. » L'âme du fils, émanation... | |
 | Frédéric baron de Portal - 1873 - 478 strani
...fondement du droit de succession. Les antiques lois de 1 Himloustan disent: « Un mari, en i'écondant le sein de sa femme, y renaît sous la forme d'un fœtus, et l'épouse est nommée Djâyâ, parce que son mari naît (Djâyàté)en elle une seconde fois '. » L'âme du fils, émanation... | |
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On doit surtout s'attacher à garantir les femmes des mauvais penchants, même les plus faibles; si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux familles. 6. « Que les maris, quelque faibles qu'ils soient considérant que... 
