Adjâ îb al-Hind. Les merveilles de l'Inde [by Buzurg b. Shahriyâr] tr. avec intr., notes, index analytique et géographique par L. M. Devic. (Nouv. coll. Jannet-Picard).

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Priljubljeni odlomki

Stran 181 - On trouve dans ces déserts, et parmi ces sables, des fourmis plus petites qu'un chien, mais plus grandes qu'un renard. On en peut juger par celles qui se voient dans la ménagerie du roi de Perse, et qui viennent de ce pays, où elles ont été prises à la chasse. Ces fourmis ont la forme de celles qu'on voit en Grèce ; • elles se pratiquent sous terre un logement. Pour le faire, elles poussent en haut la terre de la même manière que nos fourmis ordinaires, et le sable qu'elles élèvent est...
Stran xxix - VI, contenant la géographie d'Edrisi, traduite de l'arabe en français, d'après deux manuscrits de la Bibliothèque du Roi, et accompagnée de notes, par P. Amédée Jaubert, membre de l'Institut, etc., avec 3 cartes.
Stran xxviii - Mémoire géographique, historique et scientifique sur l'Inde, antérieurement au milieu du xi» siècle . de l'ère chrétienne, d'après les écrivains arabes, persans et chinois. Paris...
Stran xx - Ces marchands parlent l'arabe, le persan, le romain (grec et latin), les langues franque, espagnole et slave. Ils voyagent de l'Occident en Orient, et de l'Orient en Occident, tantôt par terre, tantôt par mer. Ils apportent de l'Occident des eunuques, des esclaves femelles, des garçons, du brocard, des peaux de castor, des pelisses de martre, et autres pelleteries, et des épées.
Stran 172 - Djedda est , comme on sait, le port clé la Mecque : « ville florissante, disait Aboulféda, à quarante milles de la cité sainte, où débarquent les pèlerins venant de la côte opposée. » 28, page i3. — II est sans doute ici question d'un narval, poisson qui porte à l'extrémité de la mâchoire supérieure une dent en forme de corne, dont la longueur dépasse parfois 3 mètres. Dans les mers polaires où le narval est aujourd'hui relégué . cette corne lui sert à percer la glace pour...
Stran 195 - Les habitants de ces îles mangent les hommes vivants ; leur teint est noir, leurs cheveux sont crépus, leur visage et leurs yeux ont quelque chose d'effrayant. Ils ont les pieds longs; le pied de l'un d'entre eux est d'environ une coudée (22).
Stran 197 - Mais, à la fin, le trône échut à un prince qui ordonna de saisir, n importe par quel moyen, tout Indien qui aurait une telle audace. L'ordre fut exécuté. A la vérité l'Indien tua le marchand et se tua lui-même; ce cas se reproduisit plusieurs fois, et un grand nombre d'indigènes et de marchands arabes trouvèrent ainsi la mort. Mais on finit par se lasser; ce genre d'attaque cessa, et les marchands n'eurent plus à craindre pour leur personne. (Les Deux Mahométans, Ed. Charton, p.
Stran 130 - En hiver, ils se couvrent avec de l'herbe; quelques-uns ont un i\ar formé de pièces et de morceaux de toute couleur. Ils se souillent le corps avec la cendre des os des Indiens morts qu'on a brûlés. Ils se rasent la tête, arrachent leur barbe et leurs moustaches, mais gardent les poils du pubis et des aisselles. Ils taillent et rognent leurs ongles. Chacun d'eux possède, en guise d'écuelle, la partie supérieure d'un crâne d'homme, dans laquelle il mange et boit en manière de mortification...
Stran 172 - Cette mer renferme un autre poisson que nous péchâmes ; sa longueur était de vingt coudées. Nous lui ouvrîmes le ventre, et nous en tirâmes un poisson de la même espèce; puis, ouvrant le ventre de celui-ci, nous y trouvâmes un troisième poisson du même genre. Tous ces poissons étaient en vie et se remuaient; ils se ressemblaient pour la figure les uns aux autres. » (Relation de Solélman, ubi supra, p.
Stran xxvii - Hiouenthsang et de ses voyages dans l'Inde depuis l'an 620, jusqu'en 645, par Hoeï-li et Yen-thsong, suivie de documents et d'éclaircissements géographiques tirés de la relation originale de Hiouen-thsang, traduite du chinois.

Bibliografski podatki