Histoire naturelle: générale et particulière

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Stran 213 - VII , pag. 449. la tête , se rend dans le corps, auquel il semble communiquer intérieurement. , , » Les pattes, dit le même auteur (i), les pattes qui sont cachées dans la coquille et attachées le long du dessous du corps, sont en forme de nageoires barbues; mais leur nombre et leur véritable figure sont difficiles à démêler au travers de la coquille, parce qu'elles sont très - transparentes et garnies de plusieurs longues pai ties en forme de poils, qui les rendent très-embrouillées...
Stran 188 - ... antennules qui y sont insérées (i). Les antennes sont simples , très - courtes , filiformes, et insérées. sous le chaperon. » Le corps de l'animal commence à l'endroit de la jonction du têt avec la tête; il est composé d'une trentaine d'anneaux qui forment une légère courbure , et vont toujours en diminuant de largeur. Les dix premiers sont concaves; ils ont sur le côté un tubercule d'autant plus petit qu'il s'éloigne de la tête ; dessous eux est un double rang de vésicules rougeâtres,...
Stran 82 - TOME IV. F unes sur les autres; ce paquet est épais au côté latéral et extérieur, et finit en tranche au côté interne ; les branchies sont ainsi au nombre de dix, ou peut-être de douze. La queue est cornée , et se termine insensiblement en pointe. Elle est reçue, à sa naissance , dans une cavité ou alvéole , située à l'extrémité de la seconde pièce du têt, au milieu de sou échancrure. Elle est articulée avec cette pièce par le moyen d'une tête, dont les côtés sont dilatés,...
Stran 240 - Degeer qu'on doit cette jolie observation , que le hasard lui fit faire. Ce fait démontre que la coquille fait partie de l'animal même , et qu'elle diffère par conséquent beaucoup de celles des mollusques testacés , qui ne sont unies au corps' que par un point, et qui croissent par juxta-position de molécules.
Stran 189 - ... corps ; mais là ils deviennent ronds et conservent la même forme jusqu'à la fin. Les feuillets du rang intérieur grandissent de plus en plus, en descendant, jusqu'aux deux tiers de la longueur, où ils diminuent tout d'un coup, et se terminent avec les autres eu un point. » Ces feuillets ou ces lames sont les branchies qui servent à la respiration , comme à la natation de l'animal. » La queue commence en dessous, à l'endroit où finissent les branchies; mais en dessus elle peut être...
Stran 84 - Caroline et dans l'Inde, dans les jours les plus chauds de l'été, viei>lient le soir sur les plages sablonneuses ou marécageuses , toujours et presque toujours le mâle porté sur sa femelle, qui est plus grosse, mais sans y être en état d'accouplement, ni cramponné violemment; ils restent la nuit entière à moitié hors de l'eau, s'inquiétant peu de ce qui .se passe autour d'eux , et ne cherchant à se sauver que lorsqu'ils se voient dans un danger déjà agissant...
Stran 14 - PREMIERE. ENTOMOSTRACÉS; entomostraca, LES entomostracés sont distingués des crustacés proprement dits, de ceux que nous appellerons avec les anciens malacostracés, par les caractères suivans : Mandibules toujours nues ou nulles. Quatre mâchoires au plus. Corps souvent renfermé sous un têt univalve ou bivalve , plus corné que calcaire ou membraneux , terminé par une pointe ou par une queue sétigère. Yeux ordinairement sessiles.
Stran 187 - Sur son dos postérieur se voit une foible carène, qui fait une fourche sur le devant , et indiqué la place de la tête. Les yeux sont situés au dessus de la tête, très-rapprochés , obliques, saillans, ovales, et accompagnés d'un petit tubercule intermédiaire sur le derrière. En dessous le bouclier est concave, et laisse voir deux plaques rouges, où se trouvent des vaisseaux qui partent de son point de jonction avec le corps, et servent à sa nourriture. En devant il se replie , forme une...
Stran 84 - F a têt est d'un brun verdâtre, beaucoup moins calcaire que celui des écrevisses, puisqu'il se fléchit sous le doigt pendant la vie de l'animal , et se casse difficilement après sa mort. Lorsqu'il marche, on ne voit aucune de ses pattes , et dès qu'on le touche , il les retire entièrement contre son abdomen , pose sur le sol les bords de son têt , et relève sa queue comme pour se défendre. Cette queue est très-redoutée en Caroline, comme dans l'Inde ; on croit que sa piquure est venimeuse;...

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