Coup-d'oeil sur le christianisme

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Chez les principaux libraires, 1879 - 356 strani
 

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Stran 207 - Mais je ne craindrai pas de dire que je pense avoir eu beaucoup d'heur de m'être rencontré dès ma jeunesse en certains chemins qui m'ont conduit à des considérations et des maximes dont j'ai formé une méthode par laquelle il me semble que j'ai moyen d'augmenter par degrés ma connaissance...
Stran 116 - Savez-vous, après tout, de quoi je suis capable? Vous fiez-vous, mon frère, à mon extérieur? Et, pour tout ce qu'on voit, me croyez-vous meilleur? Non, non, vous vous laissez tromper à l'apparence, Et je ne suis rien moins, hélas! que ce qu'on pense. Tout le monde me prend pour un homme de bien ; Mais la vérité pure est que je ne vaux rien.
Stran 127 - Celui que l'esprit seul peut percevoir, qui échappe aux organes des sens, qui est sans parties visibles, éternel, l'âme de tous les êtres, que nul ne peut comprendre, déploya sa propre splendeur.
Stran 207 - Ainsi mon dessein n'est pas d'enseigner ici la méthode que chacun doit suivre pour bien conduire sa raison, mais seulement de faire voir en quelle sorte j'ai tâché de conduire la mienne.
Stran 157 - Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi , n'est pas digne de moi ; et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi , n'est pas digne de moi.
Stran 278 - Et maintenant voilà ce qui subsiste de cette ville puissante, un lugubre squelette! Voilà ce qui reste d'une vaste domination, un souvenir obscur et vain ! Au concours bruyant qui se pressait sous ces portiques a succédé une solitude de mort. Le silence des tombeaux s'est substitué au murmure des places publiques. L'opulence d'une cité de commerce s'est changée en une pauvreté hideuse. Les palais des rois sont devenus le repaire des fauves ; les troupeaux parquent au seuil des temples, et...
Stran 173 - Passez, passez, pour vous point de haute statue : Le peuple perdra votre nom ; Car il ne se souvient que de l'homme qui tue Avec le sabre ou le canon...
Stran 277 - ... j'aperçus dans la plaine la scène de ruines la plus étonnante : c'était une multitude innombrable de superbes colonnes debout, qui, telles que les avenues de nos parcs, s'étendaient à perte de vue en files symétriques.
Stran 60 - Si le ministre y avoit fait quelque réflexion, il auroit songé que l'origine de la servitude vient des lois d'une juste guerre, où le vainqueur ayant tout droit sur le vaincu jusqu'à pouvoir lui ôter la vie, il la lui conserve : ce qui même, comme on sait, a donné naissance au mot de Servi, qui devenu odieux dans la suite, a été dans son origine un terme de bienfait et de clémence , descendu du mot servare, conserver.
Stran 117 - L'imagination des poètes a placé l'âge d'or au berceau de l'espèce humaine, parmi l'ignorance et la grossièreté des premiers temps; c'était bien plutôt l'âge de fer qu'il fallait y reléguer. L'âge d'or du genre humain n'est point derrière nous, il est au-devant...

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