Scènes de la vie de province

Sprednja platnica
A. Houssiaux, 1870
 

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Stran 344 - Aie bien soin de tout. Tu me rendras compte de ça là-bas , dit-il en prouvant par cette dernière parole que le christianisme doit être la religion des avares. Eugénie Grandet se trouva donc seule au monde dans cette maison, n'ayant que Nanon à qui elle pût jeter un regard avec la certitude d'être entendue et comprise , Nanon , le seul être qui l'aimât pour elle et avec qui elle pût causer de ses chagrins. La grande Nanon était une providence pour Eugénie.
Stran 341 - Il l'embrassa avec effusion , la serra dans ses bras à l'étouffer. — Va , mon enfant , tu donnes la vie à ton père ; mais tu lui rends ce qu'il t'a donné : nous sommes quittes. Voilà comment doivent se faire les affaires. La vie est une affaire. Je te bénis! Tu es une vertueuse fille, qui aime bien son papa.
Stran 344 - Puis, lorsque le prêtre lui approcha des lèvres le crucifix en vermeil, pour lui faire baiser le Christ, il fit un épouvantable geste pour le saisir. Ce dernier effort lui coûta la vie. Il appela Eugénie qu'il ne voyait pas, quoiqu'elle fût agenouillée devant lui, et baignât de ses larmes une main déjà froide.

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