Roger Bacon

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C. Meyrueis et cie, 1863 - 81 strani
 

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Stran 52 - Afin que nous sachions mieux où vous voulez en venir, nous voulons et vous ordonnons, au nom de notre autorité apostolique, que, nonobstant toute injonction contraire de quelque prélat que ce soit, ou toute constitution de votre ordre, vous ayez à nous envoyer au plus vite l'ouvrage que nous avons prié de communiquer à notre cher fils Rémond de Laon, quand nous étions légat.
Stran 51 - A notre fils chéri le frère Roger dit Bacon , de l'ordre des frères mineurs : Nous avons reçu avec reconnaissance les lettres de votre dévotion, et nous avons pris bonne note des paroles que notre cher fils, le chevalier Bonnecor, ya ajoutées, pour les expliquer, avec autant de fidélité que de prudence. Afin que nous sachions mieux où vous en voulez venir, nous voulons et vous ordonnons, au nom de notre autorité apostolique, que, nonobstant toute injonction contraire de...
Stran 52 - Laon, quand nous étions légat. Nous voulons encore que vous vous expliquiez dans vos lettres sur les remèdes qu'on doit appliquer à ces maux si dangereux que vous nous signalez, et qu'avec le plus de secret possible vous vous mettiez en devoir sans aucun délai. •i Donné à Viterbe, le 10 des ealendes de juillet, de notre pontificat la deuxième année.
Stran 63 - A peine, hélas ! eût-on compté quatre de ces auteurs qui eussent cette connaissance 1 (1). Les critiques visaient plus loin et plus haut. « A la Cour « romaine, disait-il, que réglait autrefois, comme cela doit « être, la sagesse même de Dieu, maintenant domine, grâce « aux constitutions des empereurs, le droit laïque qui con« tient le droit civil et ne devrait gouverner que les laïques. « Aussi, ce siège sacré est en proie au mensonge et aux « tromperies; la justice y périt, la...
Stran 52 - Rémond de Laon, quand nous étions légat. Nous voulons encore que vous vous expliquiez dans vos lettres sur les remèdes qu'on doit appliquer à ces maux si dangereux que vous nous signalez, et qu'avec le plus de secret possible vous vous mettiez en devoir sans aucun délai.
Stran 47 - ... Mais, pour lui, le disciple n'est qu'un idiot placé peut-être par les persécuteurs pour rendre plus cruelles les souffrances du malheureux: « On lui donna, dès son entrée au couvent, pour le servir et bientôt après pour seul compagnon, un jeune homme sans aucune instruction ; il passait même pour idiot. Les supérieurs de Roger Bacon pensaient peut-être que l'ignorance de son serviteur serait pour le savant une torture de plus ajoutée à celles qu'ils ne lui avaient pas épargnées.

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