Mémoires, Količina 5

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Société de linguistique de Paris, 1884
 

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Stran xii - RENIER (Charles-Alphonse-Léon), membre de l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres), professeur d'épigraphie et antiquités romaines au Collège de France, président de la section des sciences historiques et philologiques à l'École pratique des hautes études, conservateur de la Bibliothèque de l'Université.
Stran xii - Académie des inscriptions et belles-lettres), professeur de langue et littérature françaises du moyen âge...
Stran 15 - Adverbien mal-tas, tval-tas, in denen, wäre das t von tvat ablativisch, ein Ablativsuffix an das andere treten würde, lassen über die nicht ablativische Natur der Stammformen keinen Zweifel bestehen. « Quant au génitif singulier des pronoms grecs, je maintiens d'une façon générale l'opinion que j'ai déjà eu l'occasion d'émettre dans les Studien (X, 69) que ce cas remonte à un ancien ablatif. Toutefois différents points de détail appellent des modifications. Selon l'analogie des formes...
Stran 84 - ... etc.; les jamas n'ont pas été comptés ainsi ; aussi quand il est dit ici : les occlusives non nasalisées se changent en jamas, on est porté à inférer de ce que les premières sont au nombre de vingt quant à leurs lieux, que les jamas doivent être également au nombre de vingt.
Stran 302 - Eu est en baguais la terminaison des participes passés et de la plupart des temps qui sont en u dans le français; il ne se diphtongue jamais : Beu, couneu, creu, recheu, veu. Je beus, je couneus, je creus, je recheus, etc. Les substantifs marquant l'action d'un verbe sont en eure lorsqu'ils viennent d'un participe présent : Alleure, balieure, caoucheure, enflleure, gageure, saleure, etc.
Stran 170 - Aë est donc la prononciation traditionnelle. Les vieillards que j'ai interrogés dans mon enfance m'ont assuré que leurs ancêtres n'avaient jamais prononcé autrement. Jusqu'à preuve du contraire, nous nous en tiendrons donc à l'explication la plus simple et la plus naturelle. Le latin a fourni l'a et les- Haguais l'ont conservé.
Stran 378 - La chute entière, d'un seul bloc, de la syllabe finale, soit d'une voyelle et d'une consonne, soit d'une consonne et d'une voyelle, est un phénomène totalement inconnu au néo-grec, et jamais il ne faut avoir recours à cette explication. Il n'ya donc pas la moindre trace ici d'une chute de la syllabe finale non accentuée, ainsi que cela se passe dans les langues romanes, comme l'a prétendu E.
Stran 29 - Ainsi s'explique le latin pœne, qui voulait dire ftoul à fait" et qui est de la famille de peniter, penitus. La différence de quantité se retrouve dans penuria à côté de pënu; on sait que tous ces mots dérivent de l'idée de provision, les provisions étant mises chez les Romains dans la partie la plus reculée de la maison, d'où l'on est arrivé au sens de т jusqu'au fond, entièrement».
Stran 68 - Un autre trait commun à ces quatre traductions, c'est le vague de la prière prêtée à Ferîdùn. Pour accorder la prière demandée, il faut qu'Ardvi Sûra l'ait interprétée. Si l'on se reporte au texte, on remarque que uta est suivi d'une enclitique, que ne traduisent point trois des traductions citées...
Stran 342 - Nigidius — : mature inquit est — temperatura est. bene atque proprie P. Nigidius; nam et in frugibus et in pomis matura...

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