Voyages d'Ibn Batoutah, texte arabe, accompagné d' une tr. par C. Defrémery et B.R. Sanguinetti. 4 tom. [and] Index alphabétique, Kolièina 4

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Stran 433 - C'est une des plus belles cités des nègres, une des plus vastes et des plus abondantes en vivres. On y trouve beaucoup de riz , de lait , de poules et de poisson ; on s'y procure cette espèce de concombre surnommé 'inâny, et qui n'a pas son pareil.
Stran 420 - Ils font exactement les prières ; ils les célèbrent avec assiduité dans les réunions des fidèles, et frappent leurs enfants, s'ils manquent à ces obligations. Le vendredi, quiconque ne se rend point de bonne heure à la mosquée ne trouve pas une place pour prier, tant la foule y est grande. Ils ont pour habitude d'envoyer leurs esclaves à la mosquée étendre leurs nattes qui servent pendant les prières, dans le lieu auquel a droit chacun d'eux, et en attendant que le maître s'y rende...
Stran 267 - La Chine est la plus sûre ainsi que la meilleure de toutes les régions de la terre pour celui qui voyage. On peut parcourir tout seul l'espace de neuf mois de marche sans avoir rien à craindre, même si l'on est chargé de trésors. C'est que dans chaque station il ya une hôtellerie surveillée par un officier, qui est établi dans la localité avec une troupe de cavaliers et de fantassins. Tous les soirs , après le coucher du soleil...
Stran 289 - Le jongleur l'appela trois fois sans en recevoir de réponse ; alors il prit un couteau dans sa main, comme s'il eût été en colère, il s'attacha à la corde et disparut aussi. Ensuite il jeta par terre une main de l'enfant, puis un pied, après cela l'autre main, l'autre pied, le corps et la tête. Il descendit en soufflant, tout haletant, ses habits étaient tachés de sang [...]. L'émir lui ayant ordonné quelque chose, notre homme prit les membres du jeune garçon, et les attacha bout à...
Stran 392 - U (2) /c-^-«-« de drachmes; il doit porter avec lui des morceaux de sel gemme, des ornements ou colifichets de verre, que l'on appelle nazhm, ou rangée, et quelques substances aromatiques. Parmi ces dernières, les indigènes préfèrent le girofle, la résine-mastic et le tâçarghant; celui-ci est leur principal parfum. Lorsque le voyageur arrive dans un village, les négresses sortent avec du millet, du...
Stran 289 - prit une boule de bois qui avait plusieurs trous, par lesquels passaient de longues courroies. Il la jeta en l'air, et elle s'éleva au point que nous ne la vîmes plus [...] Quand il ne resta dans sa main qu'un petit bout de la courroie, le jongleur ordonna à un de ses apprentis de s'y suspendre, et de monter dans l'air, ce qu'il fit, jusqu'à ce que nous ne le vissions plus. Le jongleur l'appela trois fois sans...
Stran 409 - Jl < 3l tlLes jours des deux fêtes (la rupture du jeûne et la solennité des sacrifices), le sultan s'assied sur le penpi aussitôt qu'est accomplie la prière de l'après-midi. Les écuyers arrivent avec des armes magnifiques : ce sont des carquois d'or et d'argent, des sabres embellis par des ornements d'or, et dont les fourreaux sont faits de ce métal précieux, des lances d'or et d'argent, et des massues ou masses d'armes de cristal. A côté du sultan se tiennent debout quatre émirs, qui...
Stran 268 - C'est que dans chaque station il ya une hôtellerie surveillée par un officier, qui est établi dans la localité avec une troupe de cavaliers et de fantassins. Tous les soirs , après le coucher du soleil , ou après la nuit close, l'officier entre dans l'auberge, accompagné de son secrétaire; il écrit le nom de tous les étrangers qui doivent y passer la nuit, en cachette la liste, et puis ferme sur eux la porte de l'hôtellerie. Au matin, il y retourne avec son secrétaire, il appelle tout...
Stran 260 - Ils vendent et ils achètent au moyen de morceaux de papier, dont chacun est aussi large que la paume de la main, et porte la marque ou le sceau du sultan. Vingtcinq de ces billets sont appelés bâlicht, ce qui revient au sens du mot dinar ou de pièce d'or chez nous.
Stran 246 - Il le plaça sur son propre cou, et se mit à parler longtemps dans une langue que je ne compris point. Après cela il saisit le couteau avec ses deux, mains à la fois, et se coupa la gorge. Sa tête tomba par terre, à cause du tranchant acéré de l'arme et de la force avec laquelle il la tenait. Je restai tout stupéfait de son action ; mais le sultan me dit : « Est-ce que clic/ vous quelqu'un agit de la sorte?

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