تحفة النظار فى غرائب الامصار وعجائب الاسفارImprimerie nationale, 1879 |
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Zadetki 1–5 od 14
Stran 57
... assistants se mirent à rire et le juge fut honteux . Il ne put répliquer à son interlocuteur , car dans l'Inde les chérîfs sont extrêmement considérés . Parmi les gens de bien de cette ville ( Cambaie ) , se trouvait le pèlerin Nassir ...
... assistants se mirent à rire et le juge fut honteux . Il ne put répliquer à son interlocuteur , car dans l'Inde les chérîfs sont extrêmement considérés . Parmi les gens de bien de cette ville ( Cambaie ) , se trouvait le pèlerin Nassir ...
Stran 61
... assistants me firent craindre le retour du flux avant que j'arrivasse à Koukah . Or , je ne savais pas bien nager ; mais je parvins sans encombre à la ville et fis le tour de ses marchés . J'y vis une mosquée dont on attribuait la ...
... assistants me firent craindre le retour du flux avant que j'arrivasse à Koukah . Or , je ne savais pas bien nager ; mais je parvins sans encombre à la ville et fis le tour de ses marchés . J'y vis une mosquée dont on attribuait la ...
Stran 97
... assistants , afin qu'ils ne pillassent pas ce que la mer re- jetait . La coutume du pays de Malabar , c'est que toutes les fois qu'un vaisseau est brisé , ce que l'on en retire revient au fisc , si ce n'est en cette seule ville . En ...
... assistants , afin qu'ils ne pillassent pas ce que la mer re- jetait . La coutume du pays de Malabar , c'est que toutes les fois qu'un vaisseau est brisé , ce que l'on en retire revient au fisc , si ce n'est en cette seule ville . En ...
Stran 98
... assistants m'annoncèrent qu'il faudrait absolu- ment que ce cacam entrât dans le port de Caoulem . Je ré- solus donc de me rendre dans cette ville , qui était éloi- gnée de Calicut de dix journées de marche , soit par terre , soit par ...
... assistants m'annoncèrent qu'il faudrait absolu- ment que ce cacam entrât dans le port de Caoulem . Je ré- solus donc de me rendre dans cette ville , qui était éloi- gnée de Calicut de dix journées de marche , soit par terre , soit par ...
Stran 148
... assistants , sans exception , avaient les pieds nus . Les trompettes , les clairons et les timbales le précédaient ; les soldats marchaient devant et derrière lui , poussant tous le cri de Dieu est très - grand , jusqu'à ce qu'ils ...
... assistants , sans exception , avaient les pieds nus . Les trompettes , les clairons et les timbales le précédaient ; les soldats marchaient devant et derrière lui , poussant tous le cri de Dieu est très - grand , jusqu'à ce qu'ils ...
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Stran 427 - C'est une des plus belles cités des nègres, une des plus vastes et des plus abondantes en vivres. On y trouve beaucoup de riz , de lait , de poules et de poisson ; on s'y procure cette espèce de concombre surnommé 'inâny, et qui n'a pas son pareil.
Stran 413 - La sûreté complète et générale dont on jouit dans tout le pays. Le voyageur, pas plus que l'homme sédentaire, n'a à craindre les brigands, ni les voleurs, ni les ravisseurs.
Stran 415 - Est-ce que tu ne les mettras pas en liberté ? Il répondit : « Je ne le ferai que lorsqu'ils sauront par cœur le Coran ». Un autre jour, je passai devant un jeune nègre, beau de figure, revêtu d'habits superbes et portant aux pieds une lourde chaîne : Je dis à la personne qui m'accompagnait: « Qu'a fait ce garçon.? Est-ce qu'il a assassiné quelqu'un? » Le jeune nègre entendit mon propos et se mit à rire. On me dit...
Stran 414 - Ils font exactement les prières ; ils les célèbrent avec assiduité dans les réunions des fidèles, et frappent leurs enfants, s'ils manquent à ces obligations. Le vendredi, quiconque ne se rend point de bonne heure à la mosquée ne trouve pas une place pour prier, tant la foule y est grande. Ils ont pour habitude d'envoyer leurs esclaves à la mosquée étendre leurs nattes qui servent pendant les prières, dans le lieu auquel a droit chacun d'eux, et en attendant que le maître s'y rende...
Stran 264 - Dépendances. que celui-ci désire, et, s'il veut une concubine, il fait pour lui l'acquisition d'une jeune fille esclave. Il le met alors dans un appartement dont la porte s'ouvre sur l'intérieur de l'hôtellerie, et il fait la dépense pour l'homme et pour la femme... Quand le marchand étranger désire se marier en Chine, il le peut aussi trèsfacilement ; mais pour ce qui est de dépenser son argent dans le libertinage, cela ne lui est nullement permis. Les Chinois disent : « Nous « ne voulons...
Stran 387 - Je me mis en route avec trois de mes compaguons; et tout le long du chemin nous trouvâmes de gros arbres séculaires. Un seul suffit pour donner de l'ombre à toute une caravane. Il y en a qui n'ont ni branches, ni feuilles, et, malgré cela, leur tronc ombrage un homme à merveille. Quelques-uns de ces arbres...
Stran 265 - La Chine est la plus sûre ainsi que la meilleure de toutes les régions de la terre pour celui qui voyage. On peut parcourir tout seul l'espace de neuf mois de marche sans avoir rien à craindre , même si l'on est chargé de trésors. C'est que dans chaque station il ya une hôtellerie surveillée par un officier, qui est établi dans la localité avec une troupe de cavaliers et de fantassins.
Stran 266 - Tous les soirs , après le coucher du soleil , ou après la nuit close, l'officier entre dans l'auberge, accompagné de son secrétaire; il écrit le nom de tous les étrangers qui doivent y passer la nuit, en cachette la liste, et puis ferme sur eux la porte de l'hôtellerie. Au matin , il y retourne avec son secrétaire, il appelle tout le monde par son nom, et en écrit une note détaillée. Il expédie avec les voyageurs une personne chargée de les conduire à la station qui vient après, et...
Stran 414 - ... 5° Les nègres se couvrent de beaux habits blancs tous les vendredis. Si, par hasard, l'un d'eux ne possède qu'une seule chemise, ou tunique usée, il la lave au moins, il la net.toie , et c'est avec elle qu'il assiste à la prière publique. 6° Ils ont un grand zèle pour apprendre par cœur le sublime Coran. Dans le cas où leurs enfants font preuve de négligence à cet égard , ils leur mettent des entraves aux pieds et ne les leur ôtent pas qu'ils ne le sachent réciter de mémoire....
Stran 384 - Quiconque veut les épouser le peut sans difficulté; mais ces femmes messoufites ne voyagent pas avec leur mari ; si même l'une d'elles y consentait, sa famille l'en empêcherait. Dans ce pays, les femmes ont des amis et des camarades pris parmi les hommes étrangers ou non parents. Les hommes, de leur côté, ont des compagnes qu'ils prennent parmi les femmes étrangères à leur famille.