Slike strani
PDF
ePub

seu qu'il sont de grant vaillance 7. Et par ceste voie les ont toutes, les coursaus.

e

II va en este province de Gazurat moult de poivre, et de gingembre et inde1 7. Et si ont aussi moult de coton. Et les arbres qui font eenton sent bien haut six pas ; et sont vielx bien de vingt mis. Mais bien est, quant les arbres sont si vielx, le coton i but i et pas ben pour filer; mais pour faire autres ser

me

[ocr errors][ocr errors][merged small][merged small]
[merged small][ocr errors][merged small][ocr errors]

uce ost je la grandeur du fresne, d'un myers ou d'un chastaiguier, d'une matière dure wd yougeuse, avant les rameaux ornés de nuvvup je tuilles, decoupées menu, de la lonputa u cmpan; le fruict se forme de la figure • w, su heu d'un doigt recourbé; etc.

La habitants de l'Inde se purgent fort béaucucul avec les tamarins pris avec huile de aki fide. Bt les medecins indiens appliquent

[ocr errors]
[ocr errors]

ts parties du corps allligées d'érysipele, les cudits de tauratin broyees. On les porte en Aadio ou Perse, eu l'Asie Mineure, etc. » (S). Le produit que Mare Pol appelle ici inde, Yogos que a la meure etymologie due au iode wa origine; en sanskrit il est nommé 14, mot qui veut dire - nou » ou « bleu foncé» pa vai ja couleur de l'udigo. Les Indiens cultiven is pidule à algo depuis un temps immé mecade, de wat eux qui out appris aux Eurosex, at de Fuadiodice, et celui de la culture a da morale pour avoir des plauts riches en

substance colorante. Cette plante se cultive sur
une grande échelle dans l'Inde; il y a des plan-
teurs d'indigo (dont la plupart maintenant sont
des Européens, surtout des Anglais), comme il y
a en Amérique des planteurs de cannes à sucre.
D'après R. Montgomery Martin (Statistics of the
Colonies of the British Empire, London, 1839,
p. 363) le nombre des factoreries d'indigo était
alors de 899, appartenant à des propriétaires
européens. Le produit s'était élevé en 1827 à
45,300 caisses; en 1831, il était tombé à 30,000
suite de l'avilissement du prix.
par

(6) Marsden (note 1401), et après lui M. Hugh Murray, prétendent que Marc Pol a confondu le bombax, ou arbre qui porte le coton (silk-cotton tree) lequel croît ordinairement à une hauteur de quinze à vingt pieds, avec le gossipium arboreum ou le gossipium herbaceum, qui est une plante annuelle. Mais Marc Pol n'a fait aucune confusion semblable. Il ne parle que de l'arbre qui porte le coton, et dont le produit, quand l'arbre est vieux, sert à d'autres usages. « On connaît dans l'Indoustan, dit M. Legoux de Flaix (Essai historique, géographique et politique sur l'Indoustan, Paris, 1807, t. II, p. 165), plusieurs espèces, on, pour parler plus exactement, plusieurs variétés du cotonnier; il est très-multiplié dans les différentes provinces de l'Indoustan. Au Bengale, où se trouve un grand nombre de fabriques de mousselines diverses et de toiles, les artisans distinguent sept espèces de coton, entre autres celui à laine blanche, celui à laine rousse et celui dont le duvet est jaunâtre. On les cultive égale

L'en adoube" moult grant quantité de cuiran 12 en ce pays, en chascune maniere; et cuir de bec 13, et de buef, et de bugle et de bues' sauvages, et de unicornes, et de maintes autres bestes". Et y en adoube l'en tant, que on en charge chascun an plusieurs nefs, qui vont par Arabie et par autre part. Et si y fait on moult belles oeuvres de cuir vermeil entaillié à oiseaux et à bestes moult belles et cousues de fil d'or et d'argent' moult soubtilement. Et sont si belles que c'est une merveille à veoir. Et si en y a de telles qui valent bien dix mars 14 d'argent (7).

f Ms. B. buefs. - Id. et d'autres manières de bestes. . h Ms. A.

11 Tanne.

12 Cuirs, du lat. corium; le ms. C. curien. 13 Bouc. Le texte français de la S. G. porte bee; qui a été expliqué par mouton. La version latine porte becho, et le ms, de la Crusca becco, mots qui tous deux veulent dire bouc, chèvre.- 14 Marcs.

ment dans les diverses provinces de ce vaste empire. Quelques personnes prétendent que ces trois variétés sont vivaces; les Indous ne les connaissent que pour être annuelles. Ceux qui ont une opinion différente se fondent sur ce que l'on cultive dans quelques lieux des cotonniers qu'on tire de Surate (dans le Goudjarat) et de Siam, qui atteignent l'un et l'autre à la hauteur de sept à huit pieds, et qui sont très-branchus. Ce qui a pu induire en erreur les Indous, dit-on, c'est leur pratique de renouveler, tous les aus, leurs plantations de cotonniers, pratique qui ne laisse pas le temps à ces arbrisseaux de prendre tout l'accroissement auquel ils parviendraient indubitablement si on ne les arrachait, et qui est le résultat des anciennes méthodes suivies dans ce pays. >>

«

Il y a beaucoup d'espèces de cotonniers, dit Charpentier-Cossigny (Voyage à Canton, etc., Paris, an VII, p. 347); les unes sont annuelles, les autres vivaces; les unes petites, les autres trèshautes et très-touffues. Ces dernières ne réussiraient pas dans un climat froid. Dans quelques parties de l'Inde on cultive un cotonnier vivace. Cependant il est arraché tous les ans. Apparemment que le premier rapport est plus abondant ou d'une qualité supérieure. Plus les arbres sont vieux, plus le coton est fin, mais en revanche plus les brins sont courts. »

Le coton se nomme en sanskrit karpása, (erioxylon), que les Grecs et les Latins ont fait passer dans leur langue en écrivant ce mot xápnaoos et carbasus. C'est donc à tort, comme nous l'avons déjà fait remarquer depuis longtemps, que les lexicographes et les traducteurs rendent ces mots par lin, étoffe de lin, au lieu de coton, le lin se nommant en sanskrit oumá et kchouma, et le chanvre bhanga.

(7) Cette industrie paraît un peu abandonnée aujourd'hui, mais elle était très-florissante du temps de Marc Pol, époque où les navigateurs arabes fréquentaient beaucoup ces parages. Linschooten, cité par Marsden, et dont les voyages dans l'Inde commencèrent en 1583, parlant de la région de l'Inde située entre le Goudjarât et l'Indus, signale les manufactures de cuirs ouvrés en ces termes : « Ex corio item perite quædam « facta, floribusque ex bysso variis coloribus or«nata. Hisque utuntur in tapetorum vicem, et « lectis mensisque imponunt. » (Navig. ac Itin., cap. VII, p. 12.) Il n'y est pas fait mention de la préparation des peaux ; mais le Dr Buchanan, dans le cours de son voyage dans les parties centrales de la péninsule, décrit minutieusement les procédés employés par les indigènes pour préparer, tanner et teindre, non-seulement les peaux de chèvres et de moutons, mais encore les cuirs de bœufs et de buffles (vol. I, p. 227).

Autre chose n'y a en ce royaume qui à conter face. Si vous conterai, ci avant, d'un autre royaume qui a à nom Tanaim '.

CHAPITRE CLXXIX.

Cy devise du royaume de Tanain.

Tanaim 1, est uns grans royaumes vers ponent, moult grant, et bon. Et ont roy; et ne font treu

i Ms. B. Tanamy.

CLXXIX. Ms. B. treuage.

Enfin Linschooten dit encore: Eadem arte << stragula faciunt serico filo exornata, et acu * picta.... lectica Indica, mulierum sellas, alia« que minuta. » Cap. IX, p. 13.

CLXXIX. — (1) Ce nom de Tanaim ou Tanamy, comme portent nos manuscrits, est orthographié Tima et Tana, dans le texte français de la Société de Géographie (p. 226), Thana dans la version latine (p. 467), et Tana dans l'ancienne version italienne de la Crusca (édit. B. Boni, p. 192). Ce nom est écrit 45, Tanah, dans Ibn Batoutah (éd. citée, t. II, p. 177), où il est dit : « Cette ville (Aden) est le port où abor«dent les Indiens; de gros vaisseaux y arrivent « de Cambaie, Tánah, Caoulem (Coulam), Kåa likoúth (Calicut), Fandaraïnah, etc. » Aboulféda écrit aussi Tanah: « Peregrinator quidam ait Tanam Guzeratæ urbem in ejus parte « orientali jacere, occidentem versus a Malaba«baria. Ibn Said tradit, eam extremam Làrica « terræ (royaume de Lår; voir ci-devant, p. « 631) urbem esse, mercatoribus celeberri» mam; ejus litoris incolas Indos omnes simu« lacra venerari; at inter eos etiam Muslimos habitare. Eam in litore sitam esse dicit Birù« nius (Al-Biròuni); hujus nominis adjectivum « esse tanasi, unde vestes tänasicæ nomen ha« beant... A quodam peregrinatore comperi, eam et ejus pagos mari cinctos esse. » (Gildemeister, de Rebus Indicis, etc., p. 188).

"

Cette autorité, jointe à celle d'Ibn Batoutah, ne peut laisser aucun doute que le Tanaim, ou Tana de Marc Pol, ne soit le Tanah du voya

à nullui. Et sont ydolatres, et

geur et du géographe arabes que nous venons de citer. « On en connait la position à quelque distance de la mer, dit d'Anville (Antiquité géographique de l'Inde, p. 100), sur un canal qui la détache du continent et a son embouchure dans la baye de Bombay. Les géographes orientaux parlent de cette ville d'une manière à faire juger qu'elle a été des plus florissantes par le commerce en cette partie maritime. Je remarque que sa latitude à 19 degrés 30 minutes dans AlBiruni paroit très-convenable, et les indications que donne cet astronome sont communément préférables à celles qui en different ; on la trouve de même dans les Tables de Nasir-uddin et d'Ouloug-beg. Et de ce que Tana tient une place dans ces Tables, plutôt que toute autre ville de cette contrée, sans excepter Barokia ou Cambaye, on peut conclure qu'il a été un temps où Tana prévaloit. Marc Pol en parle comme d'un royaume, qu'il joint à ceux de Cambaeth et de Semenat. >>

Marc Pol dit que Tanaim était « un royaume indépendant qui ne payait tribut à aucun autre »; il ne le comprend pas dans le Goudjarât. Rachid-ed-din, le vizir de Ghâzan Khan et d'Oeldjaïtou, qui écrivait en Perse sa grande Histoire (Djami-ut-Téwárikh) à la même époque que Marc Pol dictait son Livre à Rusticien de Pise, dit en décrivant l'Inde (dans Elliot : Bibliographical Index to the Historians of Muhamedan India, Calcutta, 1849, p. 42): « Il y a là (en parlant du Moultan) une route par terre aussi bien que par la côte de la mer, et par le Gouzerát, qui est une grande contrée, dans la

ont langage par eus (2). Et si n'y croist ne poivre, ne autre espicerie; mais encens y croist il assez et est brun, et s'en fait grans marchandises. Et si y fait l'en cuirains assez ; et si y fait l'en moult de bons bouguerans et de beaus (3).

I

[ocr errors]

b Le texte français de la S. G. porte (p. 226): « Le i ne naist pevre ne autre speceries come sunt en celles provences qe noz vos avon contés en arieres. La traduction française de l'édition illustrée dit : :༥ Cette contrée produit du poivre et des épiceries comme les autres pays dont nous venons de parler.» On ne pouvait pas faire une traduction plus infidèle.

[blocks in formation]

quelle sont Cambaye, Soûmenât, Konkan, Tana et plusieurs cités et villes. On dit que le Gouzeråt comprend 80,000 différents districts, cités, villages et hameaux. Les habitants de ce pays sont riches et heureux, et pendant les quatre saisons de l'année, non moins que soixante-dix fleurs différentes fleurissent dans la contrée. Les récoltes qui croissent dans la saison froide empruntent leur vigueur à la rosée. Quand celle-ci ne se produit plus, la saison chaude commence, et à celle-ci succède la saison des pluies. On fait deux récoltes de raisins pendant l'année, et la force productive du sol est telle que, si vous placiez un plant de colonnier sur un platane, il pousserait des racines et donnerait un produit pendant dix ans.

« La population est idolâtre, et ils ont un roi de leur nation. Soumnåt (dont il est question ciaprès, ch. CLXXXI), qui est le nom de l'idole de ce lieu, est adoré par toutes les populations de ces contrées, et des étrangers (hindous) s'y rendent d'une grande distance pour lui présenter leurs offrandes. Pendant la durée de la dernière station, ils se traînent sur le sol, le front contre terre, et s'approchent de l'idole en faisant de grands mouvements de tête.

«Il se fait un grand commerce sur les côtes du Gouzeråt. Au-delà du Gouzerat sont Konkan et Tána; au-delà de ceux-ci vient la contrée de Melibar, qui, depuis la frontière de Karoha à Koulam, a 300 farsangs (environ 300 lieues de 25 au degré) en étendue. Toute la contrée produit le pán (en sanskrit panasa et phalasa, « arbre à pain >>); ce qui fait que les Indiens y trouvent la vie facile. Il y a là beaucoup d'or et

d'argent monnayés, qu'on ne peut exporter dans une autre contrée. Une partie du territoire est en terre ferme, et l'autre partie en côtes maritimes. Les habitants parlent une langue mélée, comme ceux de Khabâlik, dans la direction de Roùm, auxquels ils ressemblent sous beaucoup de rapports. Les habitants sont tous samanis (bouddhistes ou plutôt djainistes). La première ville située sur la côte est Sindapour (la «< ville de Sinda ou des Sind, 1' Αριακὴ Σαδινῶν de Ptolémée »), ensuite Fàgnûr, ensuite Mandjarûr (Mangalore), ensuite la contrée de Hîli (l'Ėly de Marc Pol); ensuite la contrée de Tadarså, ensuite Djangli, ensuite Koûlam (Coilum, Kiu-lân). Les habitants de toutes ces contrées sont samanis (djainistes). »

On voit par cet extrait que Rachid-ed-din s'est servi pour cette citation de deux documents différents, dont le premier place Tana dans le Goudjarât, et le second en dehors et comme État indépendant. Il est vraisemblable que le second de ces documents était le plus récent, et concordait avec l'époque du voyage de Marc Pol.

Barbosa, en parlant de cette place, dit : « Per «<lungo la detta costa andando avanti vi trova << una fortezza del detto re (di Guzzerati) che si « chiama Tana Maiambu. » Fol. 298. Dans la Relation originale de Duarte Barbosa, publiée en langue portugaise en 1813, par l'Académie royale des sciences de Lisbonne, on lit (p. 281) : Benamajambu (pour Tana-majambu : « Ha ho diante de Baxay, ha ho longuo da costa estaa húa fortalesa del Rey do Guzarate, ha que chamaom Tana-majambu. etc. » Nous avons ici l'explication de l'orthographe Tanaim, pour Tana, de

Il ist de ce royaume moult de coursaus 3, par la volenté leur roy, qui robent les marcheans. Et si ont covenant 5, ces coursaus, à leur roy, que touz les chevaus que il prendront seront siens; et toutes les autres choses seront leur (4). Et ce fait, le roy,

[merged small][merged small][ocr errors][merged small]

notre rédaction, dans laquelle la prononciation locale a été suivie; le nom composé, de Barbosa, signifiant << Tana-les-Bombay » ; ce dernier nom, Bombay, se prononçant dans le pays: Mombei, et signifiant un certain poisson.

Toutefois, ce n'est pas là la véritable étymologie du mot, écrit, Thána, dans Férichtah, et qui a conservé des traces du nom original sanskrit St'ánaka, ou plutôt S'ri-St'ánaka, « la ville de la déesse S'ri, » ou Lakchmi, a déesse de la Fortune, » comme le porte une inscription en langue sanskrite, gravée sur des planches de cuivre, et découverte en creusant des fondations pour construire de nouveaux ouvrages au fort de Tanna, capitale de l'ile de Salsette, en 1786; inscription publiée dans le premier volume des « Recherches asiatiques», p. 43 et suiv. de la traduction française.

Il n'est pas douteux que la ville actuelle fortifiée de Tanna, ou Thàna, dans l'ile de Salsette, à vingt milles nord-est de Bombay (lat. 19° 11', long. 70° 40′), ne réponde au Tana ou Tanaim de Marc Pol. Toutes les autorités que nous avons citées concourent à confirmer cette opinion.

(2) La langue parlée généralement dans la province actuelle de Bombay est le marathi (corruption du mot sanskrit maharáchtra, grand royaume »> ), ou « maråthe »> qui est, comme nous l'avons déjà dit, dérivé du sanskrit. Le goudjarâti et l'hindoustani y sont aussi parlés, mais par le petit nombre des habitants.

[ocr errors]

(3) Le poivre ne croit effectivement plus dans cette latitude. Les principaux produits de la province sont le riz ainsi que d'autres grains, et le coton. Des chevaux d'une petite espèce, probablement de race arabe, sont élevés en grand nombre sur les bords de la rivière Bimå. Des

5 Accord, convention, contrat; mot con

fruits de différentes espèces, et d'une saveur délicate, y croissent aussi en abondance, particulièrement des raisins, des melons, des oranges et des figues.

Quant à l'encens, Marsden pense que c'est évidemment le benjoin, gomme-résine, obtenue avec ou sans incision, dont on connaît plusieurs sortes; le commun, ou en sorte, comme on l'appelle dans le commerce, est roussâtre ou brunrouge foncé, d'odeur suave; c'est probablement là l'encens dont parle Marc Pol. Cette gomme du benjoin est importée de Soumatra dans les ports de l'Inde, pour être de là transportée sur les marchés de l'Arabie, de la Perse, de la Syrie et de l'Asie Mineure, où il s'en fait une grande consommation. Le benjoin, en latin benjuinum, se nomme en langue javanaise menjan ou mbenjan, d'où le mot est dérivé. Quant à l'industrie des « cuirs » et des « bouguerans ", voir la note 7 du chapitre précédent.

(4) Al-Birouny parle d'une tribu de Beouridji établis à Kudj et à Soumenat, dont il sera bientôt question. On les nommait ainsi parce qu'ils se livraient à la piraterie dans des barques nommées beyrah, (Voir M. Reinaud, Fragments arabes et persans relatifs à l'Inde, p. 120.) La piraterie, d'ailleurs, existait dans ces mers comme dans beaucoup d'autres où le commerce l'attirait par l'appât du gain, jusqu'à ce que des puissances intéressées à sa destruction l'eussent supprimée. Mais ce qui la distingue ici, comme le fait trèsbien remarquer Marc Pol, c'est son «< association avec le souverain du pays », qui en partageait le profit, et qui en cela ne faisait mie œuvre de roy, comme dit Marc Pol.

Ce roi, c'était Rama-Dêva, ou Ramdéo, selon la prononciation du pays, souverain du Dekhan, qui fut défait près de Dévagiri ou Deoghur, la mo

« PrejšnjaNaprej »