Les auteurs français du programme (classes de seconde et première ABCD) ..., Kolièina 2Edmond Estève, E. Guirand Librairie Delagrave, 1922 |
Pogosti izrazi in povedi
aime âme amis assez Auteurs français 2º avaient avez beau Boindin Booz Buffon c'était Camporeal caractère Carthage célèbre charme chose Cicéron ciel citoyens cœur d'être Diderot Dieu dire Discours donner Émile enfants Ernest BERSOT espèce esprit ESTEVE Euripide eût faisait femme force genre gens Gorlois goût guerre Hatto HERNANI homme Horace Walpole humain idées j'ai j'avais j'étais jamais Jean-Jacques jour l'abbé l'âme l'auteur l'esprit l'Esprit des lois l'histoire l'homme laisse lettres livres lois Louis XIV main malheureux ment misanthrope misère Mme Geoffrin mœurs Molière monde Montesquieu morale mort n'avait n'était Napoléon Ier nation nature naturel objets ouvrage parler passer passions peine pense père petite peuple philosophie plaisir pleurs porte premier presque prince qu'un raison reste Révolution ridicule rien Romains Rome Rousseau Ruy Blas s'il Saint-Preux sais scène sentiment serait seul société songe sorte terre tête théâtre tion trouve vérité vertu voilà Voltaire XVIIIe siècle yeux
Priljubljeni odlomki
Stran 342 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Stran 166 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Stran 372 - Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ; Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ; Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre Brillait à l'occident, et Ruth se demandait, Immobile, ouvrant l'œil à moitié sous ses voiles, Quel dieu, quel moissonneur de l'éternel été Avait, en s'en allant, négligemment jeté Cette faucille d'or dans le champ des étoiles.
Stran 154 - De quoi jouit-on dans une pareille situation ? De rien d'extérieur à soi, de rien sinon de soi-même et de sa propre existence, tant que cet état dure on se suffit à soi-même comme Dieu.
Stran 195 - L'HOMME est né libre , et partout il est dans les fers. Tel se croit le maître des autres , qui ne laisse pas d'être plus esclave qu'eux. Comment ce changement s'est-il fait? je l'ignore. Qu'est-ce qui peut le rendre légitime? je crois pouvoir résoudre cette question.
Stran 28 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde: on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Stran 134 - Jamais pays de plaine, quelque beau qu'il fût, ne parut tel à mes yeux. Il me faut des torrents, des rochers, des sapins, des bois noirs, des montagnes, des chemins raboteux à monter et à descendre, des précipices à mes côtés qui me fassent bien peur.
Stran 130 - S'il est élevé, noble, sublime, l'auteur sera également admiré dans tous les temps; car il n'ya que la vérité qui soit durable, et même éternelle.
Stran 202 - C'en est fait, disais-je en moi-même, ces temps, ces temps heureux ne sont plus ; ils ont disparu pour jamais. Hélas! ils ne reviendront plus ; et nous vivons, et nous sommes ensemble, et nos cœurs sont toujours unis...
Stran 372 - L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car on voyait passer dans la nuit, par moment, Quelque chose de bleu qui paraissait une aile. La respiration de Booz qui dormait, Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.