Histoire des Français, Količina 16Treuttel et Würtz, 1833 - 31 strani |
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alliés ambassadeurs août armée auroit avoient avoit Belcarii Bonnivet Bourbon Brantôme cardinal chancelier Duprat Charles Charles-Quint Clément VII çois Ier comte concile connétable cour de Rome croyoit d'Angleterre demandoit devoient devoit duc de Savoie duché de Milan écus ennemis Espagnols états étoient étoit évêque faisoit Ferdinand Ferdinandi Davali Ferroni Ferronii Fleuranges Fran François avoit François Ier François Sforza fût Gaillard guerre Guicciardini Guill Henri VIII Hist Ibid Impériaux Isambert Italie Italiens l'armée l'Église l'empereur l'Italie laissé landsknechts Lannoy Lautrec Léon X lettres Leyva ligue Louise de Savoie Mart Martin Du Bellay Médicis Mém ment mille hommes monarque n'avoit Naples négociations pape parlement passer Pauli Jovii Pescara Piémont pouvoient pouvoit princes protestans provinces Rapin Thoyras Robertson's royaume s'étoient s'étoit Saluces seigneur seroit seulement Sforza Sleidani soldats Suisses tion traité de Cambrai traité de Madrid Traités de Paix trève Turcs Vénitiens venoit verso vouloit voyoit Wolsey XVIII
Priljubljeni odlomki
Stran 227 - Madame, pour vous faire savoir comme se porte le reste de mon infortune, de toutes choses ne m'est demeuré que l'honneur et la vie qui est sauve.
Stran 285 - voulons, sire, révoquer en doute ou disputer « de votre puissance, ce seroit espèce de sacri« lége; et savons bien que vous êtes par sus les «lois, et que les lois et ordonnances ne vous « peuvent contraindre , et n'y êtes contraint par « puissance coactive ; mais entendons dire que « vous ne devez ou ne voulez pas vouloir tout « ce que vous pouvez , ains seulement ce qui « est en raison bon et équitable , qui n'est autre
Stran 104 - ... il ne se peut estimer ; tellement que plusieurs « y portèrent leurs moulins , leurs forêts et leurs « prés sur leurs épaules. » (i) Cette entrevue , qui avoit occupé si longtemps d'avance les deux royaumes, et toute cette magnificence déployée. par les deux rois, magnificence qui épuisa leurs trésors et laissa leur noblesse accablée de dettes, ne se rattachoient à aucune négociation importante. Par le traité signé à Ardres le 6 juin , et lu le lendemain à l'entrevue des deux...
Stran 122 - Dieu soit loué de ce que ce n'est pas moi qui commence la guerre, et de ce que le roi de France veut me faire plus grand que je ne suis ! Car en peu de temps, ou je serai un bien pauvre empereur, ou il sera un pauvre roi de France (2).
Stran 267 - Tel estoit le roy François, blessé des dames au corps et en l'esprit; la petite bande de madame d'Estampes gouverne. Alexandre voit les femmes quand il n'a point d'affaires, François voit les affaires quand il n'a plus de femmes.
Stran 227 - Par quoi , s'il vous plaist avoir cette honnête « pitié , et moyenner la sûreté que mérite la « prison d'un roi de France , lequel on veut « rendre ami , et non désespéré , vous pouvez « faire un acquest , au lieu d'un prisonnier in« utile , de rendre un roi à jamais votre es« clave
Stran 485 - Palletiere , lequel avoit le chasteau en garde, fut pareillement forcé par le boullevert, lequel n' estoit encores du tout en deffence, et fut prins prisonnier; mais, sur un debat qui sourdit entre-eux, à sçavoir auquel il avoit donné sa foy, fut tué. Il y mourut de toutes gens, tant de gens de guerre, citadins , que pionniers', environ quatre mille cinq cens hommes, et ne fut pardonné ny à femmes religieuses ny enfans; car vous...
Stran 112 - Luther, le 18 avril , avouer tous ses écrits et défendre ses opinions avec un courage invincible ; elle lui permit de se retirer ensuite sous la conduite du même héraut d'armes qui l'a voit amené. Après quoi la diète fulmina contre lui une condamnation qui le mettoit hors de la loi comme hérétique et excommunié ; tandis que l'électeur de Saxe le fit enlever par des gens masqués , et conduire dans la forteresse de Wartburg, où il demeura neuf mois en sûreté , mais ignoré de ses amis...
Stran 31 - ... l'artillerie jour et nuit; et vous assure, Madame, que j'ai vu les lansquenets mesurer la pique aux Suisses, la lance aux gendarmes ; et ne dira-t-on plus que les gendarmes sont lièvres armés, car, sans point de faute, ce sont eux qui ont fait l'exécution...
Stran 104 - Je ne m'arrêterai à dire les grands triomphes et festins qui se firent là, ni la grande dépense superflue, car il ne se peut estimer; tellement que plusieurs y portèrent leurs moulins, leurs forêts et leurs prés sur leurs épaules.