Revue de l'histoire des religions, Kolièine 95–96

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Maurice Vernes, Jean Réville, Léon Marillier, René Dussaud, Paul Alphandéry
Presses Universitaires de France, 1927
Includes "Notices bibliographiques."

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Stran 256 - Parce que l'amour de Jésus-Christ nous presse, considérant que si un seul est mort pour tous , tous par conséquent sont morts , 15. Et que Jésus-Christ est mort pour tous , afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux.
Stran 69 - On admet donc quelque chose de divin dans tous les corps qui nous environnent, lorsqu'on admet des formes, des facultés, des qualités, des vertus, ou des êtres réels capables de produire certains effets par la force de leur nature ; et l'on entre ainsi insensiblement dans le sentiment des païens par le respect que l'on a pour leur philosophie.
Stran 124 - Les demandes en duplicata des numéros non arrivés à destination ne pourront être admises que dans les quinze jours qui suivront la réception du numéro suivant.
Stran 270 - Et à ceux qui sont mariés, j'ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari...
Stran 71 - II avait autrefois lu les ouvrages philosophiques de saint Augustin où ces matières lui avaient paru mieux traitées et plus approfondies. Il les relut, et en effet, après une longue méditation, il trouva que le docteur de la grâce avait mieux connu l'esprit, et que M. Descartes, qu'on peut justement appeler le docteur de la nature, avait mieux connu le corps.
Stran 143 - Avant que la religion fût arrivée à proclamer que Dieu doit être mis dans l'absolu et l'idéal, c'est-à-dire hors du monde, un seul culte fut raisonnable et scientifique, ce fut le culte du soleil. Le soleil est notre mère patrie et le dieu particulier de notre planète.
Stran 272 - De même, aussi, le Seigneur . a ordonné à ceux qui annoncent l'évangile de vivre de l'évangile » (4) . Ainsi rapprochée de son contexte, la dernière phrase s'explique sans la moindre difficulté par l'Ancien Testament.
Stran 71 - Augustin a cru ce que croyaient ceux qui l'ont précédé, parce que les choses de la foi ne s'apprennent que par la tradition, et que la raison ne peut pas les découvrir. La croyance la plus ancienne étant la plus vraie, il faut tâcher de savoir quelle était celle des anciens, et cela ne se peut qu'en examinant le sentiment de plusieurs personnes qui se sont suivies en différents temps.
Stran 278 - Des chiens dévorants m'ont environné; le conseil des méchants m'a assiégé; ils ont percé mes mains et mes pieds, ils ont compté tous mes os...
Stran 201 - Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, et ton prochain comme toi-même », a certainement été observée avec un accord conscient par les croyants.

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