A Key to the Exercises in Ollendorff's New Method of Learning to Read, Write, and Speak the French LanguageD. Appleton, 1848 - 185 strani |
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a-t-elle a-t-il besoin a-t-il envie a-t-il long-temps a-t-il un bon ai-je aimé allé allez-vous ami a-t-il amis ont-ils Anglais Appleton avez avez-vous J'ai avons balayer beaux billet bœuf boire café capitaine a-t-il chandelier chandelier d'or chapeau chercher cheval chose cidre compte y aller comptez-vous cordonnier coup cousin couteau d'argent déjeuné demain dîner domestique a-t-il écrire écrit envie d'acheter êtes êtes-vous faim faut-il French French language frère a-t-il fromage fusil fusil de bois garçon a-t-il GERMAN LANGUAGE heure homme a-t-il J'en jardin jolis l'ai language lire livres m'en magasin maison manger marchand a-t-il matelots matin mieux Monsieur n'ai rien n'avez n'en oiseaux oncle pain parapluie parler pas.-Les pas.-Qui paysan a-t-il père est-il Personne peur peux prêter Qu'avez-vous raccommoder READ répondre rester Russe sais sinier sœur soir?-Je souliers souvent tailleur a-t-il teindre THOMAS K unième Thème va-t-il vais vaisseau vendre veut veux aller voisin a-t-il voulez-vous work Zeuxis
Priljubljeni odlomki
Stran 182 - Dieu ; et qu'au lieu de le prier, il se met à genoux devant ce vilain singe ? D'ailleurs notre livre dit qu'il faut pardonner à ses ennemis, et leur faire du bien ; et vous voyez qu'au lieu de cela, ce méchant homme fait mourir ses prisonniers et les mange." " II me vient une pensée," dit Jean ; " si nous faisions périr ce vilain singe, ils verraient bien que ce n'est pas un Dieu.
Stran 184 - Il faudrait couper sea chaînes," dit Jean, " et nous nous sauverons tous les trois dans la forêt." "Et qu'y ferons-nous, mes pauvres enfants ?" dit Jean Maurice ; " les sauvages nous reprendront, ou bien il faudra mourir de faim." " Laissez-moi faire," dit Marie ; "je sais un moyen infaillible de vous sauver.
Stran 180 - Le jour suivant elle avança encore autant qu'ils purent marcher ; elle rencontra des nids d'oiseaux, dont elle prit les œufs ; et, voyant qu'elle ne trouvait ni hommes ni bêtes féroces, elle résolut de se soumettre à la volonté de Dieu, et de faire son possible pour bien élever ses enfants. Elle avait sauvé du naufrage une Bible, et un livre de prières ; elle s'en servit pour leur apprendre à lire, et à connaître Dieu.
Stran 180 - Mes enfants, leur répondait cette pauvre femme en fondant en larnjes, votre père est allé dans le ciel ; mais vous avez un autre père qui est Dieu; il est ici, quoique vous ne le voyiez pas, c'est lui qui nous envoie des fruits et des œufs, et il aura soin de nous tant que nous l'aimerons de tout notre cœur, et que nous le servirons fidèlement.
Stran 181 - Cela est bien singulier," répondit Marie ; " mais enfin, puisque cela est arrivé, c'est que Dieu l'a voulu ; car vous savez bien, mon frère, qu'il est tout-puissant.