Histoire de Marie Stuart, Količina 1

Sprednja platnica
 

Druge izdaje - Prikaži vse

Pogosti izrazi in povedi

Priljubljeni odlomki

Stran 54 - ... d'originalité sans assez de grâce , les ressources d'une imagination animée et forte, la faisaient remarquer comme femme . en même temps que son jugement fin et pénétrant . son application profonde . son caractère hautain et adroit, son active ambition, la destinaient à être une grande reine.
Stran 130 - Dieu, la plus belle et la plus cruelle princesse du « monde; » et puis, fort constamment tendant le col à l'exécuteur, se laissa deffbire fort aisément.
Stran 240 - Bien qu'il fût laid 3 , son aspect martial, son goût des plaisirs, la résolution hardie de son caractère, un air de dévouement chevaleresque, les mœurs élégantes et aisées du continent sous lesquelles il cachait les passions sauvages et emportées de son pays, séduisirent l'imagination de la reine et donnèrent a Bothwell un grand empirc sur elle.
Stran 42 - ... et accomplie en toutes choses honnestes et vertueuses qu'il est possible, et ne se voit aujourd'hui rien de tel en ce royaulme, soit en fille noble ou aultre de quelque basse ou moyenne condition et qualité qu'elle puisse estre ; et...
Stran 296 - Stuart, et la conjura de ne point épouser celui que tout le pays regardait comme le meurtrier de son mari, si elle ne voulait pas compromettre son honneur, exposer son fils et se perdre elle-même. La reine parut surprise, et. lui répondit, avec sa dissimulation accoutumée, qu'elle ne comprenait rien a ce bruit, vu que son cœur ne lui avait jamais rien dit pour Bothwell.
Stran 111 - ... assura du reste qu'il vivrait content sous l'autorité de la reine tant que le sang des saints ne serait pas versé, et il soutint que, dans les choses de la foi, les sujets n'étaient pas obligés de suivre la volonté de leurs princes, mais les commandements de leur Créateur. « Si tous les hommes du temps des apôtres, ajouta-t-il, avaient été contraints de suivre la religion des empereurs, que serait devenue la foi des chrétiens?
Stran 286 - Killegrevv une lettre où éclate toute sa passion contre elle dans la véhémence de ses reproches mal dissimulés et à travers les invitations d'une sollicitude hypocrite : «Madame, lui disait-elle, mes oreilles ont esté tellement estourdies, et mon entendement si fasché et mon cueur tellement effrayé...
Stran 41 - Elle y était venue pendant que se tentait la révolution littéraire qui, séparant notre poésie des formes naïves qu'elle avait prises au moyen âge pour la rapprocher des formes savantes de l'antiquité, lui faisait perdre son originalité sans lui donner de la grandeur, et ne pouvait être qu'éphémère, quoique conseillée par Joachim du Bellay, accomplie par Ronsard, favorisée par le chancelier de l'Hôpital, admirée par Montaigne et applaudie par toute la cour d'Henri II*.
Stran 71 - L'Ecosse, y disait-il, ne saurait arriver à une entière prospérité que par deux moyens, ou en se liant d'une amitié perpétuelle avec l'Angleterre, ou en ne formant qu'une seule monarchie avec l'Angleterre. Afin d'établir une amitié perpétuelle entre les deux pays, il faut arracher l'Ecosse à l'influence de la France, ancienne ennemie de l'Angleterre. Aussi longtemps que l'Ecosse restera sous l'influence française, cet accord est impossible.
Stran 261 - Subjuguée par la violence de son amour, elle dit à ltothwell qu'elle lui obéira en tout, et le supplie de ne pas concevoir d'elle une sinistre opinion : « Puisque , continue-t-elle , vous mesme estes cause de cela; je ne le feroye jamais contre lui pour ma vengeance partieulière*.

Bibliografski podatki