Vignaud Pamphlets: Jean Counsin

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1894

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Vsebina

Del 1
309
Del 2
310
Del 3
313
Del 4
317
Del 5
319
Del 6
46

Pogosti izrazi in povedi

Priljubljeni odlomki

Stran 7 - And the Lord said unto him, This is the land which I sware unto Abraham, unto Isaac, and unto Jacob, saying I will give it unto thy seed: I have caused thee to see it with thine eyes, but thou shalt not go over thither.
Stran 5 - Then felt I like some watcher of the skies When a new planet swims into his ken; Or like stout Cortes when with eagle eyes He stared at the Pacific — and all his men Looked at each other with a wild surmise — Silent, upon a peak in Darien.
Stran 8 - Chains for the Admiral of the Ocean ! chains For him who gave a new heaven, a new earth, As holy John had prophesied of me, Gave glory and more empire to the kings Of Spain than all their battles ! chains for him Who push'd his prows into the setting sun, And made West East, and sail'd the Dragon's mouth, And came upon the Mountain of the World, And saw the rivers roll from Paradise ! Chains ! we are Admirals of the Ocean, we, We and our sons for ever.
Stran 353 - Yanez, jusqu'à deux mille lieues, et si nous ne trouvons pas la terre, alors nous virerons de bord. » « Comment ! dit plus résolument Alonzo, nous sommes partis hier de Palos, et déjà le courage nous manquerait ? En avant ! Dieu est avec nous ! nous découvrirons bientôt la terre ! Dieu nous préserve de nous arrêter à la lâche pensée de revenir honteusement au pays ! » On voit dans cette immuable volonté de cingler au sud-ouest, dans cette résolution de persister dans l'entreprise,...
Stran 6 - What is this, Christians ? is it for such a little thing that you quarrel ?* If you have such a love of gold that, to obtain it, you disquiet and harass the peaceful nations of these lands, and, suffering such labors, banish yourselves from your own lands, I will show you a country where you may fulfill your desires.
Stran 353 - Y», -> déclare que, se trouvant a ivsze cents lîe'ja 4e terre, l'amiral convoqua le 6 octobre les capitaines, pour les consulter sur ce qu'il y avait à faire pour calmer le mécontentement qui éclatait à bord : « Allons, dit Vincent Yanez, jusqu'à deux mille lieues, et si nous ne trouvons pas la terre, alors nous virerons de bord. — Comment , dit plus résolument Alonzo, nous sommes partis hier de Palos et déjà le courage nous manquerait ! En avant ! Dieu est avec nous, nous découvrirons...
Stran 52 - Charles, filz du Roy de France, et conte de » Valois, bailla et donna au dessus dit seigneur de Cepoy, la » premiere coppie de son dit liure, puis qu'il l'eut fait ; et » moult lui estoit agreables quant par si preudhomme estoit » annunciez et portez es nobles parties de France.
Stran 352 - ... sabido en las cosas de la mar], lui répondit toujours négativement, et ne cessa de répéter qu'ils devaient cingler vers le sud-ouest pour trouver terre ; ce à quoi Colomb finit par consentir : Sea asi, Martin Alonso, hagomos lo asi, dit-il. C'est en suivant cet avis qu'il arriva à Guanahani.
Stran 353 - ... n'en eût pas été autrement si les Pinzon eussent été sûrs de l'existence des terres. Un tel caractère, une telle conduite, de telles intentions font présumer quelque chose de plus que le dévouement inspiré par la seule confiance ou par des probabilités • dessus de celles du vulgaire. En effet , ce n'est pas d'hier que Cousin est célébré à Dieppe comme le premier qui ait découvert la côte d'Amérique et les aiguilles du cap de Bonne-Espérance. Dès...
Stran 56 - Descaliers leur assurait l'accès possible, par la facilité trouvée de tourner l'Afrique. « Cousin, lors de son rapport, s'étoit plaint des inquiétudes et des peines que son second capitaine, nommé Pinçon, lui avoit données pendant son voyage. Cet homme, dur et jaloux de caractère, étoit, à la vérité, plus ancien marin que Cousin; mais il ignoroit, ainsi que ceux de son temps, l'hydrographie, science que Dcscaliers venoit de faire éclorre, et que Cousin mcttoit en pratique.

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