Histoire de la conquête de l'Angleterre, par les Normands, de ses causes et de ses suites jusqu'à nos jours en Angleterre en écosse, en irlande et sur le continent, Kolièina 2Berche et Tralin, 1880 |
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Stran 135 - Le lendemain de ce jour eut lieu la cérémonie de la sépulture. On voulut décorer le cadavre de quelques-uns des insignes de la royauté; mais les gardiens du trésor de Chinon les refusèrent, et, après beaucoup de supplications, ils envoyèrent seulement un vieux sceptre et un anneau de peu de valeur.
Stran 75 - Où est l'archevêque ? — Le voici, répondit Becket ; mais il n'ya pas de traître ici. Que venez-vous faire dans la maison de Dieu avec un pareil vêtement ? quel est votre dessein ? — Que tu meures.
Stran 134 - Jean, son plus jeune fils. En entendant prononcer ce nom, saisi d'un mouvement presque convulsif , il se leva sur son séant , et , promenant autour de lui des yeux pénétrants et hagards : « Est-ce bien vrai, dit-il, que » Jean , mon cœur, mon fils de prédilection , celui que j'ai chéri plus » que les autres et pour l'amour duquel je me suis attiré tous mes » malheurs , s'est aussi séparé de moi?
Stran 76 - Normand, le renversa la face contre terre, et fut asséné avec une telle violence que l'épée se brisa sur le pavé. Un homme d'armes , appelé Guillaume Mautrait, poussa du pied le cadavre immobile, en disant : » Qu'ainsi meure le traître qui a troublé le royaume et fait insurger les Anglais.
Stran 75 - Puisque c'est l'heure de mon devoir, j'irai à l'église," dit l'archevêque : et, faisant porter sa croix devant lui, il traversa le cloître à pas lents, puis marcha vers le grand autel, séparé de la nef par une grille de fer entr'ouverte.
Stran 75 - Regnault, fils d'Ours, parut à l'autre bout de l'église, revêtu de sa cotte de mailles, tenant à la main sa large épée à deux tranchants, et criant : " A moi, à moi, loyaux servants du roi ! " Les autres conjurés le suivirent de près, armés comme lui de la tête aux pieds, et brandissant leurs épées.
Stran 75 - Renault s'arma dans l'avant-cour, et prenant une hache des mains d'un charpentier qui travaillait, il frappa contre la porte pour l'ouvrir ou la briser. Les gens de la maison, entendant les coups de hache, supplièrent le primat de se réfugier dans l'église , qui communiquait à son appartement par un cloître ou une galerie ; il ne le voulut point, et on allait l'y entraîner de force , quand un des assistants fit remarquer que l'heure des vêpres avait sonné. « Puisque c'est l'heure de » mon...
Stran 123 - Quoi, tu voudrais, répondit le jeune homme, que je me dessaisisse de mon droit de naissance ? — A Dieu ne plaise, mon seigneur! répliqua le prêtre, je ne veux rien à votre détriment. — Tu ne comprends pas mes paroles, dit alors le comte de Bretagne.
Stran 75 - Dans ce moment il reçut par derrière un coup de plat d'épée entre les épaules, et celui qui le lui porta lui dit : « Fuis, ou tu es mort. » II ne fit pas un mouvement ; les hommes d'armes entreprirent de le tirer hors de l'église, se faisant scrupule de l'y tuer. Il se débattit contre eux, et déclara fermement qu'il ne sortirait point, et les contraindrait à exécuter sur la place même leurs intentions ou leurs ordres.