Poètes français, ou choix de poésies des auteurs du second et du troisième ordre, des XVe, XVIe, XVIIe, et XVIIIe siècles, avec des notices sur chacun de ces auteurs, Količina 1Ménard et Desenne, fils, 1825 - 1404 strani |
Vsebina
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Pogosti izrazi in povedi
16me siècle aile aimer amant âme Amour Avecque avoit baiser baisers beau beauté belle BERGERE bocage bois CHANSON chanter Charles d'Orléans Charles IX chère chose ciel cieux cœur colombelle congnoys cruelle cueillir Cupidon Cyprine dame Déesse Dieu dieux donne douce douleur doux ÉPIGRAMME ÉPITAPHE estonna estre étoit femme flâme fleurs François Ier gentil Hélas heureux immortelle j'ay jamais JEAN Passerat jeune jeunesse jour l'amour l'autre L'un laissé loup lyre m'en m'est Macrin main maint maistresse Marguerite Marie Stuart mesme mignon mille mort mourut muse Nays nuict nuit oiseaux passe Passereau PASTOUREAU PASTOURELLE pauvre pense pertuis Pierre de Ronsard plaisir plaît pleurs Pluton poésie poètes pré printemps puce qu'Amour qu'en quoy ravy rien rois Ronsard roses servage seul soleil sommeille SONNET Soucy soudain soupirs teint terre tombeau tousjours vent Vénus verdure vermeil veux vieillesse visage vois voix volage yeux Zéphyre
Priljubljeni odlomki
Stran 87 - Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse: Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté.
Stran 105 - Vivre entre ses parents le reste de son âge. Quand reverrai-je, hélas ! de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province et beaucoup davantage ? Plus me...
Stran 95 - Tout deviendra muet, Echo sera sans voix, Tu deviendras campagne, et, en lieu de tes bois, Dont l'ombrage incertain lentement se remue, Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue. Tu perdras ton silence, et, haletans d'effroy, Ny Satyres, ny Pans ne viendront plus chez toy.
Stran 94 - Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce...
Stran 105 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Stran 220 - Rosette, pour un peu d'absence, Votre cœur vous avez changé, Et moi, sachant cette inconstance, Le mien, autre part, j'ai rangé; Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère Qui, premier, s'en repentira.
Stran 87 - Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir...
Stran 77 - Le temps s'en va, le temps s'en va, ma dame, Las ! le temps non, mais nous, nous en allons...
Stran 95 - D'Apollon, qui me vint tout le cœur estonner : Où premier admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope, Quand sa main sur le front cent roses me jetta, Et de son propre laict Euterpe m'allaita.
Stran 5 - Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie.