Slike strani
PDF
ePub

من بيده ملكوت كل شيء كهيعص انصرنا فانك خير الناصرين وافتح لنا فانك خير الفاتحين واغفر لنا فانك خـيـر الـغـافـريـن وارحنا فانك خير الراجين وارزقنا فانك خير الرازقين واهدنا ونجنا من القوم الظالمين وهَب لنا ريحا طيبة كما هي في علمك وانشرها علينا من خزائن رحمتك واحملنا بها حمل الكرامة مع كل شيء السلامة والعافية في الدين والدنيا والآخرة إنك على

قدير اللهم يسر لنا أمورنا مع الراحة لـقـلـوبـنـا وابدانـنـا

والسلامة والعافية في ديننا ودنيانا وكن لنا صاحبا في سفرنا وخليفة فى اهلنا وأطمس على وجوه اعداينا وامسحهم على

"

monde invisible, et la mer de cette vie et celle de l'autre vie. Assujettis-nous toutes choses, ô toi qui possèdes toutes choses. C. H. Y. 'A. S.» (Ces lettres ou monogrammes commencent le chap. xix du Coran, qui traite de la miséricorde de Dieu envers Zacharie, etc.) « Secours-nous, ô toi qui es le meilleur des défenseurs, et donne-nous la victoire, ô toi le meilleur des conquérants; pardonne-nous, ô toi le meilleur de ceux qui pardonnent; fais-nous miséricorde, ô le meilleur des êtres miséricordieux; accorde-nous notre pain quotidien, ô le meilleur de ceux qui distribuent le pain quotidien! Dirige-nous et délivre-nous des hommes in

justes. Accorde-nous des vents favorables, ainsi que le peut ta science; tire-les pour nous des trésors de ta clémence, et soutiens-nous généreusement par leur moyen, en nous conservant sains et saufs dans notre foi, dans ce monde et dans l'autre; car tu peux toutes choses. Ô mon Dieu! Fais réussir nos affaires, en nous accordant le repos et la santé pour nos cœurs comme pour nos personnes, en ce qui touche nos intérêts religieux et nos intérêts mondains. Sois notre compagnon de voyage, et remplace-nous au sein de notre famille. Détruis les visages de nos ennemis et fais

مكانتهم فلا يستطيعون المُضِى ولا التجي الينا ولو نشاء لطمسنا على أعينهم فاستبقوا الصراط فأَنَّى يُبصرون ولو نشاء المسخناهم على مكانتهم فما استطاعوا مضيا ولا يرجعون يس شاهت الوجوه عم وعنت الوجوه للحى القيوم وقد خاب من حمل ظلما طس حم عشق مَرَجَ البحرين يلتقيان بينهما برزخ لا يبغيان حم حم حم حم الامر وجاء النصر فعلينا لا يُنصرون حم تنزيل الكتاب من الله العزيز العليم غافر الذنب وقابل التوب شديد العقاب ذى الطول لا إلاه إلا هو اليه المصير بسم

الله بأبنا

empirer leur condition; qu'ils ne puissent nous échapper, ni marcher contre nous. Si nous voulions, certes, nous leur ôterions la vue; ils se précipiteraient alors vers le Si râth.» (Chemin, sentier; et pont dressé au-dessus de l'enfer, suivant les musulmans, plus fin qu'un cheveu, etc.) « Mais comment le verraient-ils ? Si nous voulions, nous les ferions changer de forme; ils ne pourraient ni passer outre ni revenir sur leurs pas. » (Coran, xxxvI, 66, 67.) Y. S. (Ces deux lettres commencent le ch. xxxvI.) « Leurs faces seront laides; 'A. M. et leurs visages seront baissés devant le vivant et l'immuable. Celui qui sera chargé d'injustices sera frustré.» (Coran, xx, 110.) TH. S. H. M. 'A. S. K. (Les deux premieres lettres commencent le ch. xxvii, et les deux suivantes les ch. XL à XLVI inclusivement; les trois dernières se trouvent aussi après, en tête du ch. XLII.) « Il a fait couler séparément les deux mers qui se touchent. Entre elles s'élève une barrière, et elles ne la dépassent pas. » (Coran, LV, 19 et 20.) H. M. H. M. H. M. etc. « La chose a été décrétée et le secours est arrivé. Ils ne nous vaincront pas. Elle a été décrétée la révélation du livre (le Coran), par le Dieu puissant, savant, qui pardonne les péchés, qui accueille le repentir, qui châtie fortement, qui dure éternellement. Il n'y

تبارك حيطاننا يس سقفنا كهيعص كفايتنا حم عسق جايتنا فسيكفيكهم الله وهو السميع العليم ستر العرش مسئول علينا الله ناظرة إلينا بحول الله لا يُقدر علينا والله من ورايهم وعين محيط بل هو قرآن مجيد في لوح محفوظ فالله خير حفظا وهو ارحم الراحمين إن ولي الله الذى نزل الكتاب وهو يـتـولّى الله لا إلاه إلا هو عليه توكلت وهو رب العرش

الصالحين حسبى

الله الذي لا يضر مع اسمه شيء في الارض ولا في العظيم وبسم وهو السميع العليم له معقبات من بين يديه ومن خلفه السماء يحفظونه من أمر الله ولا حول ولا قوة إلا بالله العلى العظيم

[ocr errors]

a pas d'autre dieu que lui. C'est à lui que l'on a recours. Au nom de Dieu, que notre porte soit bénie, ainsi que nos murailles, Y. S., notre toit. C. H. Y. 'A. S., nos moyens d'existence, H. M. 'A. S. K. et notre protection. Certes, Dieu te suffira contre eux, il entend et sait tout. » (Coran, II, 131.) Le voile du firmament est étendu sur nous, et l'œil de Dieu nous regarde. Grâce à la puissance de Dieu, on ne peut rien contre nous. Dieu est derrière eux, qui les entoure. Ce Coran illustre est écrit sur une table gardée avec soin. » (Coran, LXXXV, 20, 21.) « Dieu est le meilleur des gardiens, le plus miséricordieux des miséricordieux. Mon patron est le Dieu qui a révélé le livre; il choisit pour amis les gens de bien. (Coran, VII, 195.) « Dieu me suffit. Il n'y a pas d'autre dieu que Dieu. Je mets ma confiance en lui. Il est le maître du trône suprême. Au nom de Dieu, avec le nom duquel rien sur la terre, ni dans les cieux ne saurait souffrir de dommage. C'est lui qui entend et qui sait tout. L'homme a des anges qui se succèdent sans cesse, placés devant lui, derrière lui, et qui le protégent par l'ordre de Dieu.» (Coran, XIII, 12.) « Il n'y a de force et de puissance qu'en Dieu, l'être grand et sublime par excellence. »

حكاية ومما جرى بمدينة الاسكندرية سنة سبع وعشرين وبلغنا خبر ذلك بمكة شرفها الله انه وقع بين المسلمين وتجار النصارى مشاجرة وكان والى الاسكندرية رجل يعرف بالكركي فذهب الى حماية الروم وامر بالمسلمين فحضروا بين فصيلي باب المدينة وأغلق دونهم الابواب نكـالا لهم فانـكـر الناس ذلك واعظموه وكسروا الباب وتاروا الى منزل الوالى فتحصن منهم وقاتلهم من أعلاه وطير الحمام بالخبر الى الملك الناصر فبعث اميرا يعرف بالجمالي ثم اتبعه اميرا يعرف بطوغان جبار قاسی القلب متهم في ديـنـه يقال انه كان يعبد الشمس فدخلا

ANECDOTE.

Parmi les événements qui arrivèrent dans la ville d'Alexandrie en l'année 727 (de J. C. 1326-27), et dont nous reçûmes la nouvelle à la Mecque, se trouve le suivant :

Une dispute s'éleva entre les musulmans et les marchands. chrétiens. Le gouverneur d'Alexandrie était alors un homme appelé Caraky; il s'occupa de protéger les Européens, et ordonna aux musulmans de se rendre dans l'espace compris entre les deux avant-murs de la porte de la ville, après quoi il fit fermer sur eux les portes pour les châtier. La population désapprouva cette conduite et la jugea exorbitante, et ayant rompu la porte, elle se précipita tumultuceusement vers l'hôtel du gouverneur. Celui-ci se fortifia contre leurs attaques et les combattit du haut du toit. Cependant il expédia des pigeons à Mélic nàcir pour l'instruire de cette nouvelle. Le roi fit partir un émir nommé Aldjemâly, et le fit bientôt suivre par un autre émir appelé Thaughân, qui était un homme orgueilleux, impitoyable et d'une piété suspecte; en effet, on prétendait qu'il adorait le soleil. Les deux émirs entrèrent à Alexandrie, se saisirent de ses prin

اسكندرية وقبضـا على كبار اهلها واعيان التجار بها كاولاد الكوبك وسواهم واخذا منهم الاموال الطائلة وجعلت في عنق عماد الدين القاضى جامعة حديد ثم ان الاميرين قتلا من اهل المدينة ستة وثلاثين رجلا وجعلوا كل رجل قطعتين

يوم

وخرج الناس على عادتهم جمعة وخرج و صلبوهم صفين وذلك في بعد الصلاة لزيارة القبور وشاهدوا مصارع القوم فعظمت حسرتهم وتضاعفت أحزانهم وكان في جملة أولائك المصلوبين تاجر كبير القدر يعرف بابن رواحة وكان له قاعة معدة للسلاح فمتى كان خوف أو قتال جهز منها الماية والمايتين من الرجال من الاسلحة وبالمدينة قاعات على هاذه الصورة لكثير بما يكفيهم من اهلها فزل لسانه وقال للاميرين انا اضمن هاذه المدينة

cipaux habitants et des chefs des marchands, tels que les enfants d'Alcoûbec et autres, auxquels ils extorquèrent des sommes considérables. On plaça un carcan de fer au cou du kâdhi Imâd eddîn. Quelque temps après, les deux émirs firent périr trente-six des habitants de la ville. Chacun de ces malheureux fut fendu en deux, et leurs corps furent mis en croix sur deux rangs; cela se passait un vendredi. La population étant sortie, selon sa coutume, après la prière, afin de visiter les tombeaux, vit ce funeste spectacle. Son chagrin fut grand et sa tristesse en redoubla.

Au nombre des crucifiés se trouvait un marchand trèsconsidéré, que l'on appelait Ibn Réouâhah. Il avait une salle remplie d'armes, et toutes les fois qu'un danger se présentait ou qu'il survenait quelque lutte, il en tirait de quoi fournir à l'armement de cent ou deux cents hommes. Il y avait des salles de cette espèce chez un grand nombre d'habitants de la ville. La langue d'Ibn Réouâhah le perdit (litt. glissa). En effet, il dit aux deux émirs : « Je réponds de cette

« PrejšnjaNaprej »