Histoire des protestants de France

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Société des livres religieux, 1880 - 820 strani
 

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Stran 600 - Je reconnais que l'universalité des citoyens français est le souverain, et je promets soumission et obéissance aux lois de la République.
Stran 428 - Sa Majesté veut qu'on fasse éprouver les dernières rigueurs à ceux qui ne voudront pas se faire de sa religion...
Stran 427 - Nous voyons présentement avec la juste reconnaissance que nous devons à Dieu, que nos soins ont eu la fin que nous nous sommes proposée, puisque la meilleure et la plus grande partie de nos sujets de ladite RPR ont embrassé la catholique...
Stran 457 - ... vous ne le craignez même que d'une crainte d'esclave; c'est l'enfer et non pas Dieu que vous craignez. Votre religion ne consiste qu'en superstitions, en petites pratiques superficielles. Vous êtes comme les juifs dont Dieu dit: Pendant qu'ils m'honorent des lèvres, leur cœur est loin de moi.
Stran 586 - Quant à moi, je vous l'avoue , je suis las de ma portion de despotisme ; je suis fatigué , harcelé , bourrelé de la tyrannie que j'exerce pour ma part, et je soupire après le moment où vous aurez créé un tribunal national qui me fasse perdre les formes et la contenance d'un tyran...
Stran 783 - Aucune décision doctrinale ou dogmatique, aucun formulaire, sous le titre de confession, ou sous tout autre titre, ne pourront être publiés ou devenir la matière de l'enseignement, avant que le gouvernement en ait autorisé la publication ou promulgation.
Stran 564 - . Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Stran 211 - Roi, qui l'appelait sa grande tante, son tout, sa mieux aimée, qu'il ne bougea jamais d'auprès d'elle, à l'entretenir avec tant d'honneur et de révérence que chacun en était étonné. Le soir, en se retirant, il dit à la Reine, sa mère, en riant: « Et puis, Madame, que vous en semble? joue-je pas bien mon rollet?
Stran 106 - Je ne sais, ajoutait-il, mais j'entends qu'on n'en veut qu'à vous. Je désirerais que pour un temps vous fussiez hors d'ici , pour voir si c'est à vous ou à moi qu'on en veut.
Stran 237 - ... du lit; et tirant sa custode, le roi commence à lui dire, jetant un grand soupir et larmoyant si fort, que les sanglots lui interrompaient la parole : « Ah! ma nourrice, ma mie, ma nourrice, que de sang et que de meurtres! Ah!

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