| Augustin Thierry - 1825 - 1590 strani
...quelques villages, à l'extrémité du promontoire, où fut parlé l'ancien idiome du pays1. En 1^76, des voyageurs questionnèrent, sur ce sujet, un vieux pêcheur de l'un de ces villages, qni leur répondit : « Je ne connais guère que quatre ou « cinq personnes qui parlent breton , et... | |
| Augustin Thierry - 1835 - 398 strani
...villages, à l'extrémité du promontoire, où l'ancien idiome du pays fût encore parlé '. En 1776, des voyageurs questionnèrent , sur ce sujet, un vieux...« sont de vieilles gens comme moi, de soixante à « quatre-vingts ans ; tout ce qui est jeune n'en sait « plus un mot '. » Ainsi le dix-huitième... | |
| Augustin Thierry - 1835 - 826 strani
...encore parlé'. En 1776, des voyageurs questionnèrent, sur ce sujet, un vieux pêcheur de l'un deces villages, qui leur répondit : »Je » ne connais guère que quatre ou cinq pern sonnes qui parlent breton, et ce sont de vieilles s genscommemoiidesoixanteàquatre-vingls ans;... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 370 strani
..., la langue des indigènes s'éteignait vers l'an 1 676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes...sont de » vieilles gens comme moi , de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 strani
...Cornouailles la langue des indigènes s'éteignait vers l'an 1676 : un pêcheur disait à des voyageurs: " Je ne connais guère que quatre ou cinq personnes...sont de vieilles gens comme moi, " de soixante à quatre-vingts ans." Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 424 strani
...Cornouailles , la langue des indigènes s'éteignait vers l'an 1076 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes...sont de » vieilles gens comme moi, de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 strani
...Cornouailles , la langue des indigènes s'éteignait vers l'an 1676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes...sont de » vieilles gens comme moi , de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 380 strani
...Cornouailles, la langue des indigènes s'éteignit vers l'an 4676. Un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne « connais guère que quatre ou cinq personnes...sont de vieilles gens « comme moi, de soixante à quatre-vingts ans; « tout ce qui est jeune n'en sait plus un mot. » Des peuplades de l'Orénoque... | |
| François-René de Chateaubriand - 1849 - 524 strani
...Cornouailles la langue des indigènes s'éteignait vers l'an .l 676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais « guère que quatre ou cinq personnes...« sont de vieilles gens comme moi de soixante à quatre-vingts ans.» Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus; il n'est resté de leur dialecte... | |
| Augustin Thierry - 1851 - 500 strani
...quelques villages, à l'extrémité du promontoire, où l'ancien idiome du pays fût encore parlé. En I776, des voyageurs questionnèrent , sur ce sujet,...répondit : « Je ne connais guère que quatre ou i Cambrian register for i796, p. 438. * Voyez livre H, t. I, p. 87. « cinq personnes qui parlent breton... | |
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