Croyances et légendes de l'antiquité: essais de critique appliquée à quelques points d'histoire et de mythologieDidier, 1863 - 411 strani |
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Stran 157 - Ils iont encore des sacrifices au Soleil, à la Lune, à la Terre, au Feu, à l'Eau et aux Vents, et n'en offrent de tout temps qu'à ces divinités.
Stran 21 - Seigneur est ma force, et le sujet de mes louanges, parce qu'il est devenu mon salut (ou mon Sauveur). C'est lui qui est mon Dieu , et je publierai sa gloire. Il est le Dieu de mon père , et je relèverai sa grandeur.
Stran 123 - Au commencement les ténèbres étaient envelop« pées de ténèbres, l'eau se trouvait sans impulsion. « Tout était confondu. L'être reposait au sein de ce « chaos, et ce grand tout craquait par la force de sa
Stran 133 - Et toi, femme, va dans le lieu où est encore la vie pour toi. Retrouve dans les enfants qu'il te laisse celui qui n'est plus. Tu as été la digne épouse du maître à qui tu avais donné ta main. 9. Je prends cet arc dans la main du trépassé pour notre force, notre gloire, notre prospérité.
Stran 150 - ... toutes ces offrandes diverses avec lesquelles nous implorons ta protection. 5. 0 (Dieu) qui portes et lances le tonnerre, et qui es riche en présents, quelque prix que l'on me donne de toi, m'offrirait-on et cent et mille et dix mille trésors, je ne consentirai jamais à te céder. 6. 0 Indra, je te préfère à mon père, à un frère qui peut m'abandonner. Tu es pour moi comme un père et une mère. 0 (Dieu) protecteur , je trouve en toi et soutien et fortune. 7. Dans quel endroit es-tu retiré...
Stran 135 - Remets au ciel et à la terre ce que tu leur dois. Va « donner aux eaux et aux plantes les parties de ton « corps qui leur appartiennent. « Mais il est de son être une portion immortelle.
Stran 66 - ... courbé par le sommeil; tu annonces que le temps est venu de marcher, de jouir de la vie, de songer aux sacrifices, d'augmenter sa fortune. L'obscurité régnait. L'Aurore éclaire au loin l'horizon, et visite tous les êtres.
Stran 323 - La souffrance le tourmentait aussi fort qu'un vent violent et qu'un feu ardent qui dévore de nombreux aliments. Quant à la Mort, la crainte ne lui avait pas permis d'entrer pour se placer sur le corps de mon père Joseph, et pour opérer la fatale séparation , parce qu'en dirigeant ses regards dans l'intérieur de la maison, elle m'avait aperçu assis auprès de sa tête et incliné sur ses tempes. Dès que je vis qu'elle hésitait à entrer par suite de la frayeur que je lui inspirais, je fran.
Stran 33 - L'abîme l'environne comme un vêtement, et « les eaux s'élèvent comme des montagnes; mais vos « menaces les font fuir, et la voix de votre tonnerre les « remplit de crainte1. » Écoutons maintenant le chantre du Rig : « 0 Indra! s'écrie Souhotra2, la crainte que tu ins« pires fait trembler la terre et les monts les plus so
Stran 323 - permis d'entrer pour se placer sur le corps de mon père Joseph et pour opérer la fatale » séparation , parce qu'en dirigeant ses regards dans l'intérieur de la maison, elle m'avait » aperçu, assis auprès de sa tête et incliné sur ses tempes. Dès que je vis qu'elle hésitait » à entrer, par suite de la frayeur que je lui inspirais, je franchis le seuil de la porte et je » la trouvai là, seule et toute tremblante. Alors m'adressant à elle...