Le dix-neuvième siècleBruxelles, 1865 - 331 strani |
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Stran 43 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Stran 264 - II est juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante : la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il ya toujours des méchants; la force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force; et pour cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.
Stran 49 - ... divers. Aussi voyez; voilà quinze siècles qu'elle dure, et elle est dans un état de progression continue; elle n'a pas marché, à beaucoup près, aussi vite que la civilisation grecque, mais son progrès n'a pas cessé de croître.
Stran 295 - ... la vérité et l'erreur, la vertu et le vice, la lumière et les ténèbres. Car certains hommes, d'une part, favorisent ce qu'ils appellent la civilisation moderne; d'autres, au contraire, défendent les droits de la justice et de notre sainte religion. Les premiers demandent que le Pontife romain se réconcilie et...
Stran 51 - La civilisation européenne est donc la fidèle image du monde : comme le cours des choses de ce monde , elle n'est ni étroite, ni exclusive, ni stationnaire. Pour la première fois , je pense , le caractère de la spécialité a disparu de la civilisation ; pour la première fois , elle s'est développée aussi diverse , aussi riche, aussi laborieuse que le théâtre de l'univers. La civilisation européenne est entrée , s'il est permis de le dire, dans l'éternelle vérité , dans le plan de...
Stran 44 - Ce progrès est soumis aux mêmes lois générales qui s'observent dans le développement individuel de nos facultés, puisqu'il est le résultat de ce développement, considéré en même temps dans un grand nombre d'individus réunis en société. Mais le résultat que chaque instant présente dépend de celui qu'offraient les instants précédents, et influe sur celui des temps qui doivent suivre.
Stran 299 - L'infaillibilité dans l'ordre spirituel , et la souveraineté dans l'ordre temporel , sont deux mots parfaitement synonymes. L'un et l'autre expriment cette haute puissance qui les domine toutes, dont toutes les autres dérivent , qui gouverne et n'est pas gouvernée, qui juge et n'est pas jugée.
Stran 114 - Disons la cause qui a porté le suprême ordonnateur à produire et à composer cet univers. Il était bon, et celui qui est bon n'a aucune espèce d'envie. Exempt d'envie, il a voulu que toutes choses fussent, autant que possible, semblables à lui-même. Quiconque, instruit par des hommes sages, admettra ceci comme la raison principale de l'origine et de la formation du monde, sera dans le vrai.
Stran 58 - Chrysès et la divine Cilla, qui entoures de ta puissance Sminthe et Ténédos; si jamais j'ornai ton temple d'agréables festons, si jamais je brûlai pour toi la graisse des chèvres et des taureaux, exauce aujourd'hui mes vœux, et que, frappés de tes flèches, les Grecs payent mes larmes.
Stran 286 - De l'individu à la famille, de la famille à la tribu, de la tribu à la commune la transition est naturelle et facile à suivre. Car il faut bien qu'un premier noyau se forme. L'organisation politique, dans l'histoire, s'élève du particulier au général : elle ne peut créer l'ensemble, si elle n'en trouve préformées les agrégations élémentaires.