| Thierry - 1825 - 578 strani
...vieux pêcheur de l'un de ces villages, qui leur répondit : « Je ne connais guère que quatre ou « cinq personnes qui parlent breton , et ce sont «de vieilles gens comme moi, de soixante à « quatre - vingts ans; tout ce qui est jeune n'en « sait plus un mot 2. » Ainsi le XVIIIe siècle... | |
| Jacques Nicolas Augustin Thierry - 1826 - 452 strani
...villages, qui leur répondit: «Je ne connais « guère que quatre ou cinq personnes qui parte lent breton , et ce sont de vieilles gens comme « moi...quatre-vingts ans ; tout ce « qui est jeune n'en sait plus un mot1. » Ainsi le dix-huitième siècle a vu finir la langue de Cornouailles , qui n'existe plus aujourd'hui... | |
| Augustin Thierry - 1830 - 444 strani
...Mémoires de la société des Antiquaires de Londres , tom. TI , pag. 3o5. « connais guère que quatre ou cinq personnes qui « parlent breton , et ce sont...qui est jeune n'en sait plus un mot'. » Ainsi le dix-huitième siècle a vu finir la langue du pays de Cornouailles, laquelle n'existe plus aujourd'hui... | |
| Jules Michelet - 1834 - 398 strani
...« Nous ne sommes plus que quatre ou cinq qui parlons la langue du pays, disait un veillard en 1776, et ce sont de vieilles gens comme moi, de soixante...ans ; tout ce qui est jeune n'en sait plus un mot (2). Bizarre destinée du monde celtique. De ses deux moitiés , l'une , quoiqu'elle soit la moins... | |
| Augustin Thierry - 1835 - 398 strani
...vieux pêcheur de l'un de ces villages, qui leur répondit : « Je ne connais guère que « quatre ou cinq personnes qui parlent breton, et ce « sont de...est jeune n'en sait « plus un mot '. » Ainsi le dix-huitième siècle a vu finir la langue du pays de Cornouailles, laquelle n'existe plus aujourd'hui... | |
| Jules Michelet - 1835 - 716 strani
...Nous ne sommes plus que quatre ou cinq qui parlons la langue du pays, disait un vieillard en 1776, et ce sont de vieilles gens comme moi, de soixante...quatre-vingts ans; tout ce qui est jeune n'en sait plus un mot2. Bizarre destinée du monde celtique. De ses deux moitiés, l'une, quoiqu'elle soit la moins malheureuse,... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 strani
...s'éteignait vers l'an 1676 : un pêcheur disait à des voyageurs: " Je ne connais guère que quatre ou cinq personnes qui " parlent breton, et ce sont de...gens comme moi, " de soixante à quatre-vingts ans." Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte qu'une douzaine de... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 370 strani
...s'éteignait vers l'an 1 676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes qui parlent breton, et ce sont de » vieilles gens comme moi , de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 424 strani
...s'éteignait vers l'an 1076 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes qui parlent breton, et ce sont de » vieilles gens comme moi, de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
| François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 strani
...s'éteignait vers l'an 1676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais guère que quatre ou » cinq personnes qui parlent breton, et ce sont de » vieilles gens comme moi , de soixante à qua» tre-vingts ans. » Des peuplades de l'Orénoque n'existent plus ; il n'est resté de leur dialecte... | |
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