Histoire de Marie Stuart, Reine d'Écosse

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Mégard, 1855 - 240 strani
 

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Stran 6 - Jeunesse ont pris tout à fait au sérieux le titre qu'ils ont choisi pour le donner à cette collection de bons livres. Ils regardent comme une obligation rigoureuse de ne rien négliger pour le justifier dans toute sa signification et toute son étendue. Aucun livre ne sortira de leurs presses, pour entrer dans cette collection, qu'il n'ait été au préalable lu et examiné attentivement, non-seulement par les Éditeurs, mais encore par les personnes les plus compétentes et les plus éclairées....
Stran 75 - France , et n'ayant failly le timonier au commandement qu'elle luy avoit faict, elle se leva sur son lict et se mit à contempler la France encore et tant qu'elle put.... adonc redoubla encore ces mots, Adieu, France! adieu, France! je pense ne vous voir jamais plus'.
Stran 176 - Fayette répondait aux anxiétés de notre amitié, que le plus beau jour de sa vie serait celui où il monterait sur l'échafaud pour sceller de son sang les principes de toute sa vie.
Stran 73 - Elle, sans songer à autre action, s'appuya les deux bras sur la poupe de la galère du côté du timon, et se mit à fondre à grosses larmes, jetant toujours ses beaux yeux sur le port et...
Stran 74 - N'a eu de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Stran 73 - C'est bien à cette heure, ma chère France, que je vous perds du tout" de vue, puisque la nuit obscure est jalouse de mon contentement de vous voir8 tant que j'eusse pu, et m'apporte un voile noir devant mes yeux pour me priver d'un tel bien.
Stran 73 - Elle, sans songer à autre action, s'appuie les deux bras sur la poupe de la galère, du côté du timon ', et se mit* à fondre en grosses larmes, jetant toujours ses beaux yeux sur le port et le lieu d'où elle était partie, prononçant toujours ces tristes paroles : « Adieu, France ! Adieu, France ! » les répétant à chaque coup ; et lui dura cet exercice dolent...
Stran 68 - Passe mes meilleurs ans. Fut-il un tel malheur De dure destinée, N'y si triste douleur De dame fortunée, Qui mon cœur et mon œil...
Stran 68 - Voi en bière et cercueil ? Qui en mon doux printemps Et fleur de ma jeunesse , Toutes les peines sens D'une extrême tristesse ; Et en rien n'ai plaisir Qu'en regret et desir.
Stran 119 - Plutôt mourir, s'écria-t-elle , que de laisser volontairement tomber de mes mains le sceptre que je tiens de mes ancêtres ! Il ne me quittera qu'avec la vie , et mes dernières paroles seront celles d'une reine d'Ecosse.

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