Mémoires de la Société d'agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne |
Druge izdaje - Prikaži vse
Pogosti izrazi in povedi
académique affluents agricole ancien Annales année arrondissement arrondissement de Reims artistes assez commun assez rare avez belles-lettres bois Bulletin canton de Dormans ceste Châlons Châlons-sur-Marne Champagne Champenois chants Charles Charles Picot Charmont chemins vicinaux cheval chose cœur collègue commission concours Conseil culture d'Epernay décernée département Dieu docteur donner élèves enfants estoit estre Etrepy FRONTIN gens Geoffroi de Villehardouin grant Guillaume Guillaume Coquillard Guillaume de Machaut historique hommes insectes Joinville l'abbé l'Académie l'arrondissement l'auteur l'histoire langue Larivey latin Linn littéraire maire Mareuil-le-Port Marne Maupassant médaille d'argent médaille d'or membre titulaire Mémoires ment Messieurs niche nombre œuvres oiseaux passage passe Passerat pensée Picot poésie poète population premier printemps propriétaire publique race rapporteur Reims Remy Ruisseaux saint Sainte-Ménehould sciences et arts séance sédentaire seigneur sera seul SEVERIN siècle Société d'agriculture Société d'horticulture Société impériale Somme-Soude Suippes Sylvia terre tion travaux très-commun très-rare trouve Troyes vignes Vitry Vitry-le-François vulgairem vulgairement
Priljubljeni odlomki
Stran 570 - Du palais d'un jeune lapin Dame belette, un beau matin, S'empara : c'est une rusée. Le maître étant absent, ce lui fut chose aisée. Elle porta chez lui ses pénates, un jour Qu'il était allé faire à l'aurore sa cour Parmi le thym et la rosée.
Stran 584 - Il avait de l'esprit, de l'insinuation, de l'enjouement, des manières; mais le vilain cœur paraissait toujours au travers, et au point que ces qualités eurent, dans l'adversité, tout l'air du ridicule, et ne perdirent pas, dans la plus grande prospérité, celui de fourberie.
Stran 576 - II ne me reste plus qu'à vous les déclarer. Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Stran 572 - J'entends innocemment : sur son propre désir Quelque rigueur que l'on exerce, Encore y prend-on du plaisir. Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi; Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Stran 516 - ... sénateurs, qu'on chasse et bannisse tes bons citoyens et conseillers ; qu'on pende, qu'on massacre tes principaux magistrats : tu le vois, et tu l'endures : tu ne l'endures pas seulement, mais tu l'approuves et le loues, et n'oserois et ne sçaurois faire autrement.
Stran 571 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et du bruit, goûter l'ombre et le frais...
Stran 391 - Il me demanda se je lavoie les piez aux povres le jour du grant jeudi: BSire, dis-je, en maleur28)( les piez de ces vilains ne laverai-je jà. " — BVraieraent, fist- il, ce fu mal dit; car vous ne devez mie avoir en desdaing ce que Dieu fist pour nostre enseignement. Si vous pri-je pour l'amour de Dieu, premier, et pour l'amour de moy, que vous les acoustumez à laver.
Stran 60 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été : Parle-lui tous les jours des vertus de son père; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
Stran 513 - ... je les pends par les aisselles ; je leur chauffe les pieds d'une pelle rouge ; je les mets aux fers , et aux ceps ; je les enferme en un four, en un coffre percé plein d'eau ; je les pends en chapon...
Stran 570 - Cette divinité, digne de vos autels, Et qui même en dormant fait du bien aux mortels, Par de calmes vapeurs mollement soutenue, La tête sur son bras, et son bras sur la nue, Laisse tomber des fleurs, et ne les répand pas; Fleurs que les seuls Zéphyrs font voler sur leurs pas.