Histoire de Marie Stuart, Količina 1Firmin-. Didot, 1850 |
Druge izdaje - Prikaži vse
Pogosti izrazi in povedi
ambassadeur âme amour anglais avaient Babington Beatoun Bothwell Bothwell-Haugh Burleigh C'était captivité cardinal de Lorraine catholicisme catholique ceste Chartley Chastelard château château d'Édimbourg cheval chose cœur comte de Lennox comte de Marr comte de Morton comte de Shrewsbury conspiration d'Édimbourg d'Élisabeth d'Holyrood Darnley dévouement Dieu Douglas duc de Guise duc de Norfolk Écosse écrivait Édimbourg Élisabeth ennemis épée esté estre faict fanatisme fayre femme Fotheringay Gifford Glasgow haine Henri VIII Holyrood homme Huntly j'ai j'ay Jacques James Stewart Kirkaldy de Grange Knox L'ARCHEVÊQUE DE GLASGOW Lethington lettres Lindsey Lochleven lord Madame main maison Maitland Marie Stuart Melvil ment mesme meurtre ministres mort Murray nobles pape passion Pawlet peuple poëte politique presbytériens prince princesse prison prisonnière protestantisme protestants Randolph réforme régent reine d'Angleterre reine d'Écosse religion Riccio royaume royne Ruthven s'était sang seigneurs seizième siècle sentait serviteurs seul Sheffield Shrewsbury sœur Stirling tion trône Tutbury Walsingham
Priljubljeni odlomki
Stran 309 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté « Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté...
Stran 109 - Ply contre ply retors et replié, Habit de deuil, vous sert de couverture Depuis le chef jusques à la ceinture, Qui s'enfle ainsi qu'un voile quand le vent Soufle la barque, et la single en avant.
Stran 105 - Ce qui m'estoit plaisant Ores m'est peine dure; Le jour le plus luisant M'est nuit noire et obscure. Et n'est rien si exquis Qui de inoy soit requis.
Stran 362 - N'avez-vous donc pas de crainte de Dieu non plus que les autres, vous qui vous trouvez condamné au même supplice? «Encore pour nous c'est avec justice, puisque nous souffrons la peine que nos crimes ont méritée; mais celui-ci n'a fait aucun mal.
Stran 107 - Un bois sa fueille, un antre son effroy, Un grand Palais la pompe de son Roy, Et un anneau sa perle precieuse, Ainsi perdra la France soucieuse Ses ornemens, perdant la Royauté Qui fut sa fleur, sa couleur, sa beauté.
Stran 109 - Du beau cristal de vos larmes roulées, Triste marchiez par les longues allées Du grand jardin de ce royal Chasteau Qui prend son nom de la source d'une eau.
Stran 200 - Pourquoy le mesme ordre n'aurait-il lieu envers moy Royne souveraine, vostre plus proche parente et légitime héritière ? Je pense que ceste dernière qualité en a esté jusques icy la principalle cause à l'endroict de mes ennemys, et de toutes leur calomnies, pour, en nous tenant en division, faire glisser entre deux leur injustes prétentions.
Stran 105 - Ou bien je le vois en l'eau, Comme dans un tombeau. Si je suis en repos Sommeillant sur ma couche, J'oy qu'il me tient propos, Je le sens qui me touche : En labeur, en recoy Tousjours est près de moy.
Stran 135 - N'a eu de moi que la moitié, Une part te reste, elle est tienne : Je la fie ù ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Stran 186 - L'agréable sujet de nos vers emporté; Comment pourroient chanter les bouches des poètes, Quand par vostre départ les Muses sont muettes? Tout ce qui est de beau ne se garde longtemps : Les rosés et les lys ne régnent qu'un printemps.