Le culte des saints chez les musulmans

Sprednja platnica
Leroux Editeur, 1880 - 95 strani
 

Druge izdaje - Prikaži vse

Pogosti izrazi in povedi

Priljubljeni odlomki

Stran 299 - Garcin deTassy, dans le culte extérieur des musulmans de l'Inde, c'est l'altération qu'il a subie pour prendre la physionomie indigène; ce sont ces cérémonies accessoires et ces usages, peu conformes ou contraires à l'esprit du Koran, mais qui se sont établis insensiblement par le contact des musulmans avec les Hindous ; ce sont enfin ces nombreux pèlerinages aux tombeaux des saints personnages, dont quelques-uns ne sont pas même musulmans, et les fêtes demi-païennes instituées en leur...
Stran 361 - Il est de ceux qui savent enseigner sans prendre d'allures pédantesques, et tout ce qu'il touche est traité d'une manière définitive. Si l'on veut esquisser à grands traits, pour n'avoir plus à revenir sur les généralités, l'état actuel des études qui concernent la religion romaine, on peut résumer ainsi les idées courantes. La religion romaine n'a qu'une mythologie toutàfait rudimentaire. Ses dieux sont des forces de la nature, conçues comme des volontés; forces cachées, insaisissables,...
Stran 394 - ... pas venu jusques à la ceinture tant ils le peignent grand ; et que souvent il a dévoré et dévore beaucoup de sauvages; lesquels il met dedans une grande poche, quand il les peut attraper, et puis les mange ; et...
Stran 394 - Il ya une chose étrange, digne de réciter, que plusieurs sauvages m'ont assuré être vraie : c'est que, proche de la Baie des Chaleurs, tirant au sud, est une île où fait résidence un monstre épouvantable que les sauvages appellent Gougou, et m'ont dit qu'il avait la forme d'une femme, mais fort effroyable, et d'une telle grandeur, qu'ils me disaient que le bout des mâts de notre vaisseau ne lui...
Stran 287 - Vf, 62. tout; tout éclat, tout mérite, tout relief est pour les hommes. Les hommes ont tout tiré à leur profit, pour assurer leur supériorité ; ils se sont emparés de tout ; ils ont tout monopolisé, même la sainteté, même le paradis ' . » Cette proposition peut être vraie d'une manière théorique ; elle peut rendre avec assez d'exactitude la position que les autorités de l'Islamisme font à la femme en ce qui concerne le mérite et la capacité religieuse, mais elle devient inexacte...
Stran 395 - le seul personnage réel du livre. Il avait lu le poème sublime de Job, et il composa son apostrophe violente, qu'en auteur convaincu, il croyait supérieure aux discours des trois amis. Il parle, avec une fausse modestie bien transparente, de sa jeunesse, de son inexpérience, de sa timidité; mais, au fond, il est si fier de son œuvre qu'il n'est pas fâché de la signer ; il en voudrait à la postérité, si elle le prenait pour un être imaginaire...
Stran 329 - Turâb ? Al-Makrîzî nous fournit ici une explication très importante, qui est de la plus haute signification pour l'histoire de la formation de traditions analogues. Nous allons lui laisser la parole. « En cet endroit, dit l'historien arabe 2, il y avait autrefois des collines de sable. Quelqu'un voulut y bâtir une maison. Comme il creusait les fondations, il rencontra les ruines d'une mosquée. Les gens nommèrent alors les ruines de cette mosquée (d'après une façon de parler commune en...
Stran 295 - Dieu , les hommes et les femmes qui croient, les personnes pieuses des deux sexes, les personnes justes des deux sexes, les personnes des deux sexes qui supportent tout avec patience , les humbles des deux sexes, les hommes et les femmes qui font l'aumône, les personnes des deux sexes...
Stran 292 - ... tombeau de S. Nefîsâ elle-même, qui est un véritable tombeau saint1. Les légendes rattachées au souvenir de cette dernière nous donnent une idée de la conception que les musulmans se forment de leurs saintes femmes. S. Nefîsâ / (1) Voyez Mcliron, Revue des monuments funéraires du Kerafct ou de la ville des morts hors du Caire.
Stran 395 - Il parle, avec une fausse modestie très transparente, de sa jeunesse, de son inexpérience, de sa timidité ; mais au fond, il est si fier de son œuvre qu'il n'est pas fâché de la signer ; il en voudrait à la postérité si elle le prenait pour un être imaginaire. »Le morceau le plus considérable est sans doute le mémoire de M. Joseph Halévy, sur Cyrus et le retour de l'exil, signalé précédemment dans nos comptes-rendus des séances de l'Académie des inscriptions.

Bibliografski podatki