Norwége; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de dix mille âmes. C'était toujours la même solitude; d'immenses forêts, d'immenses horizons , et point d'hommes ; d'énormes masses de montagnes amoncelées les unes derrière les autres,... Littérature, voyages & poésies - Stran 48avtor: Jean Jacques Ampère - 1858Celotni ogled - O knjigi
| Jean Jacques Ampère - 1833 - 530 strani
...capitale des rois de Norwège; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de dix mille ames : c'était toujours la même solitude; d'immenses forêts,...soleil, tant il était terne et morne; une tristesse infinie et un grand calme. Après avoir traversé une dernière foret de sapins, puis des pelouses... | |
| Jean Jacques Ampère - 1834 - 516 strani
...teinte mélancolique. Nous approchons de Drontheim, de cette ancienne capitale des rois de Norwège; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de...derrière les autres, de vastes espaces de verdure et de vaste espaces d'eau. Imaginez avec cela un ciel gris, un jour sans éclat qui ne semblait pas venir... | |
| 1838 - 696 strani
...mélancolique. « Nous approchions de Dronlheim , de cette ancienne capitale des rois de Norwéue; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de...d'immenses horizons, et point d'hommes; d'énormes niasses de montagnes amoncelées les unes derrière les autres , de vastes espaces de verdure et de... | |
| Philippe Le Bas - 1838 - 720 strani
...mélancolique. « Nous approchions de Dronlheim , de cette ancienne capitale des rois de Norwége; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de...soleil . tant il était terne et morne; une tristesse infinie et un grand calme. « Après avoir traversé une dernière forêt de sapins, puis des pelouses... | |
| Philippe Le Bas - 1841 - 686 strani
...mélancolique. « Nous approchions de Drontheim , de cette ancienne capitale des rois de Norwége; mais rien n'annonçait le voisinage d'une ville de...soleil, tant il était terne et morne; une tristesse infinie et un grand calme. « Après avoir traversé une dernière forêt de sapins, puis des pelouses... | |
| lyon - 1868 - 792 strani
...écrivains. Écoutez plutôt, Ampère arrive sur les confins de la Nonvége, s'avance vers la Laponie : C'était toujours la même solitude; d'immenses forêts,...soleil, tant il était terne et morne ; une tristesse infinie et un grand calme. Tout à coup on aperçoit la mer, c'est vraiment le triste océan du Nord... | |
| lyon - 1868 - 792 strani
...écrivains. Écoutez plutôt, Ampère arrive sur les confins de la Norwége, s'avance vers la Laponie : C'était toujours la même solitude; d'immenses forêts,...soleil, tant il était terne et morne ; une tristesse infinie et un grand calme. Tout à coup on aperçoit la mer, c'est vraiment le triste océan du Nord... | |
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