Lettres inédites du chancelier d'Aguesseau, Količina 1Imprimerie royale, 1823 - 583 strani |
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affaires assez auroit avez avoient avoit cardinal chambre Charles VII Chastellux cher fils chose cœur compagnie comte connoissance conseil privé conseillers cour des pairs couronne d'Ormesson DAGUESSEAU FILS AÎNÉ Denis Talon desirer devoient devoir Dieu dire disgrace disoit donner duc d'Orléans duc de Saint-Simon enfans esprit estre état êtes étoient étoit faisoit féodale fille François frère Fresnes Garde des sceaux gouvernement homme j'ai j'espère jour judiciaire juger juridiction l'autorité royale l'édit l'esprit l'État lement lettre lit de justice long-temps Louis Racine Louis XIV M.me la Chancelière magistrats magistrature MÈME ment mère mérite mieux ministre monarque n'avoit n'étoient n'étoit occasion ordonnances par-là parlemens parlement paroit penser père personne persuadé peuples Philippe Philippe Auguste plaisir pourroit pouvoir présent prince procureur général raison Régent remontrances rien Rois royaume s'il seigneur sentimens sentir sera seroient seroit seul souverain succès sujet sur-tout talens tendresse tion trouve Valjouan vassaux venoit véritable vertu
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Stran 23 - fameuse dans l'histoire, monsieur : on n'oubliera « pas d'y marquer que votre entrée dans le conseil « en a fait déserter les grands du royaume.
Stran cxxviii - ... envisager le bout de ses forces auquel on touche ; que tout se réduit à fermer les yeux , et à ouvrir la main pour prendre toujours , sans savoir si on trouvera de quoi prendre ; qu'il n'ya que le miracle d'aujourd'hui qui réponde de celui qui sera nécessaire demain ; et qu'on ne voudra voir le détail et le total de nos maux , pour prendre un parti proportionné , que quand il sera trop tard.
Stran cxv - ... d'en atteindre le remède par le moyen de votre prudence et autorité royale ; ce qui n'est, Sire, ni sans exemple ni sans raison... Ceux...
Stran 179 - Vous me faites grand honneur de me comparer à lui, et de mettre en parallèle un misérable faiseur de satires avec le restaurateur de la raison dans la jurisprudence.
Stran 176 - ... on peut se passer d'avoir beaucoup voyagé. Quel est le ministre des affaires étrangères qui a pratiqué toutes les cours ? Ceux qui ont été le plus employés n'ont que de vieux mémoires sur celles où ils ont été employés anciennement. M. de Chauvelin est magistrat et garde des sceaux, et, comme il a rempli les fonctions de la magistrature avec distinction et application, il connoît bien les lois et les formes du royaume.
Stran cxliv - Majesté devoit croire que vous recevriez avec respect et avec soumission une loi qui contient les véritables principes, des principes avoués et défendus par nos pères , et consacrés dans les monumens de notre histoire. « Votre refus d'enregistrer cette loi...
Stran 74 - ... je crois, mon cher fils, qu'après avoir confessé ma faiblesse, je dois rester dans un silence plein d'admiration ; triste mais unique ressource d'une éloquence usée, pitoyable figure de rhétorique dont vous vous moqueriez, vous autres grands orateurs, si la qualité de père ne me faisait espérer plus d'indulgence de la part d'un fils que j'aime pour le moins autant que je l'admire. « Je reprends le style simple, c'est-à-dire le mien, après avoir voulu...
Stran 140 - Quand irai-je au torrent de ta volupté pure Boire l'heureux oubli des peines que j'endure ; Quand irai-je goûter ton adorable paix ; Quand verrai-je ce jour qui ne finit jamais ? CHANT TROISIEME.
Stran 16 - ... un libertin de cœur et d'esprit , d'effacer de son âme les impressions du bien que SaintLaurent y avait laissées, de lui apprendre à regarder la bonté comme une faiblesse , la vertu comme une folie , la religion comme une chimère , la droiture et la bonne foi comme le mérite des dupes , et l'art de mentir , de tromper , de se jouer de sa parole , comme le seul art de régner. Mais cette doctrine infernale, qui d'une...
Stran 189 - Fréjus (Fleury) qui le sut, me demanda, et m'ayant parlé avec bonté me représenta que je perdais mon temps, et que je ferais bien mieux de songer à avoir de quoi vivre ; qu'enfin il me procurerait une place plus utile qu'une place d'académicien, à laquelle pour le présent, je ferais sagement de renoncer. M. de Valincour me conseilla de m'abandonner à mon protecteur, aujourd'hui M.