La genèse de l'humanité: la terre et l'homme, traditions indoues et chaldéenes, la légende de la genèse dans l'IndeA. Lacroix, 1879 |
Pogosti izrazi in povedi
ablutions Accadiens accompli Adoration ancêtres anciens antique Assyriens Babylone Babyloniens berceau Bérose beurre clarifié brahmanique brahmatchari brahmes caste céleste cérémonies funéraires Chaldée Chaldéens Christna civilisation colonisé conceptions coutumes culte devoirs Dieu dieux différentes divine doit dwidja émigrations esprits ethnographique existant par lui-même femme Finnois force forces physiques Gange Genèse germe gourou Hari-Pourana hommes indianistes indoue invocation jour Kalevala l'antiquité l'Asie l'eau l'Égypte l'être existant l'Euphrate l'homme l'humanité l'Inde l'Indoustan langues légende livres sacrés mânes Manou Max Stirner mode mœurs monde naraca Nari nations nourriture oblations offrandes pagodes passé père de famille peuples philosophie prescrits prêtres prière primitives pundits pure purifie race race blanche rakchasas repas funéraire sacrifices sainte Écriture Sama-Véda sanscrit savants sâvitri science officielle scientifique sémitiques serait seul Siva sloca soleil soudra srâddha suivant Sumériens swarga Swayambhouva tamoul tchandalas terre textes tion touranienne traditions indoues triade trinité vaysias Véda végétaux Vichnou Viradj William Jones xchatrias
Priljubljeni odlomki
Stran 104 - Celui que l'esprit seul peut percevoir, qui échappe aux organes des sens, qui est sans parties visibles, éternel, l'âme de tous les êtres, que nul ne peut comprendre, déploya sa propre splendeur.
Stran 272 - Ier, le mouni Viswamitra vient réclamer l'assistance de Rama, fils du roi Dasaratha, et dans le drame de Sacountala, les ermites appellent à leur secours le roi Douchmanta. Le nombre des rakchasas est incalculable et ne cesse de se renouveler, les âmes criminelles étant souvent condamnées à entrer dans le corps d'un rakchasa et à y être logées plus ou moins longtemps, selon la gravité de leur faute.
Stran 295 - Max Stirner, je n'en ai pas besoin. Ce que je puis acquérir par la force, je le possède et j'en jouis. Ce dont je ne puis m'emparer, j'y renonce, et je ne vais pas, en manière de consolation, me pavaner avec mon prétendu droit, avec mon droit imprescriptible.
Stran 106 - Souviens-toi, mon fils, qu'il n'ya qu'un seul Dieu, maître souverain et principe de toutes choses, et que tout brahme doit l'adorer en secret. Mais sache aussi que c'est un mystère qui ne doit jamais être révélé au stupide vulgaire; si tu le faisais, il t'arriverait de grands malheurs.
Stran 125 - A chacun des dieux de la triade suprême correspondait une divinité féminine, qui en était le dédoublement, la forme passive, et, pour me servir de l'expression même contenue dans plusieurs inscriptions, le reflet.
Stran 333 - En effet, c'est lui que l'Être existant par lui-même, après s'être livré aux austérités, produisit dès le principe de sa propre bouche, pour l'accomplissement des offrandes aux Dieux et aux Mânes, pour la conservation de tout...
Stran 191 - La fille de la caste commerçante qui épouse un brahme ou nn xchatriadoit tenir un aiguillon. « La fille de la caste soudra qui s'unit à un homme des castes supérieures, doit être à genoux et tenir entre ses mains le bas du manteau de son maître. « Que le mari s'approche de sa femme dans la saison favorable, à l'exception des jours lunaires défendus. Il doit venir à elle avec amour, et lui rester fidèle et éternellement attaché. « Seize nuits par mois forment la saison naturelle des...
Stran 220 - Toute oblation faite par un fils dont le cœur est pur, d'après les règles prescrites, purifie les âmes de ses ancêtres et leur procure dans l'autre monde un bonheur éternel. * • * * « Dans la quinzaine de décroissance lunaire, le dixième jour et les suivants, à l'exception du quatorzième , sont les jours favorables pour les cérémonies...
Stran 265 - Qu'aucun homme fidèle à ses devoirs n'ait de rapports avec eux ; ils doivent n'avoir d'affaires qu'entre eux et ne se marier qu'entre leurs semblables. « Que la nourriture qui leur est accordée ne leur soit donnée que sur des tessons, et qu'ils ne circulent pas la nuit dans les villages et les villes. « Qu'ils n'y entrent de jour que pour .leur besogne, portant les signes prescrits par le roi pour qu'on les reconnaisse. Qu'on les charge de transporter les morts qui ne laissent pas de parents....
Stran 159 - Par un aveu fait devant tout le monde, par le repentir, par la dévotion , par la récitation des prières sacrées, un pécheur peut être déchargé de sa faute, ainsi qu'en donnant des aumônes lorsqu'il se trouve dans l'impossibilité défaire d'autre pénitence.