Histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands, Količina 4Furne, 1846 |
Druge izdaje - Prikaži vse
Pogosti izrazi in povedi
anciens angl Angleterre anglic Anglo-Normands Annal apud hist apud rer apud Script armée avaient barons bourgeois Bretons Cambriens catholiques cause chartes châteaux chefs chevaliers Choix des poésies comte comte de Mortain conquête conquête de l'Angleterre conventiones d'Angleterre d'armes different rebellions Dublin Écossais Édimbourg Édouard étrangers évêques fils firent francic frère Froissart gallic Gallois gens gouvernement guerre Guienne Guilielm habitants haine Hanmer's Chron Hearne Henri histor hommes Hoved Hugues de Lacy Ibid in-fol indigènes insurgés Irlandais Irlandais de race irlandaise Jean John Ball l'armée l'Écosse l'Irlande langue litteræ Londres Matth nation nationale Neubrig Normands patriotique pays de Galles peuple Philippe poésies des Troubadours Poitevins politique population poster presbytériens provinces quod rebellions in Ire regis Angliæ Robin Hood Roger rois royale royaume Rymer Savile Saxons seigneurs Selden serfs seul Sir Richard Musgrave tion troupes villes Voyez livre William XIVe siècle Yvain de Galles
Priljubljeni odlomki
Stran 276 - No m meravilh s'ieu ay lo cor dolent, Que mos senher met ma terra en turment ; No li membra del nostre sagrament Que nos feimes el Sans cominalment; Ben sai de ver que gaire longament Non serai en sai pres.
Stran 56 - Hood soit né comme le dit cette romance ; " dans le bois verdoyant, au milieu des lis en fleur," c'est dans les bois qu'il passa sa vie à la tête de plusieurs centaines d'archers, redoutables aux comtes, aux vicomtes, aux évêques et aux riches abbés d'Angleterre, mais chéris des fermiers, des laboureurs, des veuves et des pauvres gens. Ils accordaient paix et protection à tout ce qui était faible et opprimé, partageaient avec ceux qui n'avaient rien les dépouilles de ceux qui s'engraissaient...
Stran 283 - O narrow is my gown, Willie, That wont to be sae wide; And gane is a' my fair colour That wont to be my pride.
Stran 315 - Histoire des Gaulois depuis les temps les plus reculés jusqu'à l'entière soumission de la Gaule à la domination romaine, par M.
Stran 269 - ... chevalerie, qui décidaient dans les affaires d'honneur, l'ancienne langue officielle continua d'être employée. De plus, l'usage se conserva, dans tous les tribunaux , de prononcer les arrêts en langue française , et de rédiger dans la même langue les registres qu'on appelait records. En général , c'était l'habitude ou la manie des gens de loi , de tous les ordres, même lorsqu'ils parlaient anglais, d'employer à tout propos des paroles et des phrases françaises , comme Ah ! sire ,...
Stran 156 - Cornouailles la langue des indigènes s'éteignait vers l'an .l 676 : un pêcheur disait à des voyageurs : « Je ne connais « guère que quatre ou cinq personnes qui parlent breton, et ce « sont de vieilles gens comme moi de soixante à quatre-vingts ans.
Stran 304 - Then he set up the flag o' red A' set about wi* bonny blue: Since ye'll no cease, and be at peace, See that ye stand by ither true.
Stran 93 - ... dans les pages précédentes. Car l'objet essentiel de cette histoire est d'envisager la destinée des peuples, et non celle de certains hommes célèbres , de raconter les aventures de la vie sociale , et non celles de la vie individuelle. La sympathie humaine peut s'attacher à des populations tout entières, comme à des êtres doués de sentiment, dont l'existence, plus longue que la nôtre , est remplie des mêmes alternatives de peine et de joie , d'espérance et d'abattement.
Stran 311 - Chronique de la conquête de Constantinople et de l'établissement des Français en Morée, écrite en vers politiques par un auteur anonyme...
Stran 215 - Thierry, les insurgés respectèrent toujours les femmes; ce que ne faisaient point les Orangistes, ni même les officiers de l'armée anglaise, malgré leurs prétentions à l'honneur et aux belles manières. Ces militaires, qui reprochaient amèrement aux rebelles le meurtre d'un seul prisonnier, remettaient les leurs sans aucun scrupule entre les mains du bourreau, parce que, disaient-ils, c'était la loi. Il y eut des provinces entières en révolte, où pas un protestant ne fut tué ; mais aucun...