Moyen age. RenaissanceDidier et cie., 1877 |
Druge izdaje - Prikaži vse
Pogosti izrazi in povedi
Alain Chartier âme ballade beau Bellay belle Boëtie Calvin ceste chansons de gestes chants Charlemagne Charles d'Orléans charme chevalier chose Christine Christine de Pisan Clément Marot cœur Comines courage dame devant Dieu Diex dire donne écrivain esprits estre Euvres faict Faux-Semblant femme force François François Ier Froissart Garin Génius gens Gerson grant guerre Guillaume de Lorris Henri héroïque héros homme ibid Jean de Meung jongleur justice l'Église l'esprit l'histoire laisse langage langue latin légende littéraire Louis main Marot ment Méon mesme Michel de L'Hospital mœurs Montaigne morale mort moyen âge mystères noble œuvres Ogier paroles passage passé passions pensée peuple Philippe poëme poésie poëte poétique politique povre premier prince Rabelais Regnier Renart reste rien rois Roland Roman Ronsard Rose royauté Rutebeuf saint satire Satyre scène seigneur sentiments sera seul siècle suiv syllabes terre tion trouvères vices vilain Villon
Priljubljeni odlomki
Stran 473 - D'un ris de saint Médard il me fallut répondre. Je poursuis. Mais, ami, laissons-le discourir; Dire cent et cent fois , il en faudrait mourir ; Sa barbe pinçoter, cageoller la science, Relever ses cheveux , dire , en ma conscience...
Stran 153 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Stran 296 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Stran 418 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Stran 419 - ... point, vous pouvez vous en délivrer, si vous essayez, non pas de vous en délivrer, mais seulement de le vouloir faire. Soyez résolus de ne servir plus; et vous voylà libres.
Stran 426 - Le moyen que ie prens pour rabbattre cette frénésie, et qui me semble le plus propre, c'est de froisser et fouler aux pieds l'orgueil et l'humaine fierté; leur faire sentir l'inanité, la vanité et deneantise de l'homme ; leur arracher des poings les chestifves armes de leur raison ; leur faire baisser la teste et mordre la terre soubs l'auctorité et reverence de la maiesté divine.
Stran 472 - L'œil farouche et troublé, l'esprit à l'abandon, Vous viennent accoster comme personnes yvres, Et disent pour bon-jour, « Monsieur, je fais des livres, On les vend au Palais, et les doctes du temps A les lire amusez, n'ont autre passe-temps.
Stran 351 - Que ne me respons-tu maintenant, ô cruelle ? France, France, respons à ma triste querelle : Mais nul, sinon Echo, ne respond à ma voix. Entre les loups cruels j'erre parmy la plaine, Je sens venir l'hyver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hérisser ma peau.
Stran 19 - Karlo, et in adjudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dist, in o quid il mi altresi fazet ; et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai , qui, meon vol, cist meon fradre Karle in damno sit.
Stran 362 - A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las, las, ses...