 | François Eudes de Mézeray - 1730 - 444 strani
...pour Mr. le Prince, que Mr. Miron Prévôt des Marchands & le Chevalier du Guet lui avoient aporté l'état des Capitaines de la Ville, que le nombre...crainte étoit petit. Néanmoins que, comme toutes chofès font pofllbles, il étoit à propos que la Reine penfât en elle-même lequel elle aimoit mieux... | |
 | François Eudes “de” Mézeray - 1743 - 448 strani
...pour Mr. le Prince, que Mr. Miron Prévôt des Marchands & le Chevalier du Guet lui aVoient aporté l'état des Capitaines de la ville , que le nombre...crainte étoit petit. Néanmoins que , comme toutes chofes font poffibles , il étoit à propos que la Reine penfat en elle même lequel elle aimoit mieux... | |
 | Armand Jean du Plessis duc de Richelieu - 1821 - 520 strani
...aussi que, pour ne se trouver étonnée , quoi qu'il arrivât de cette entreprise , elle se devoit. résoudre au pis ; qu'il ne croyoit pas que la ville...Reine pensât en elle-même lequel elle aimoit mieux, ou abandonner son entreprise et laisser les affaires dans le péril dans lequel elles étoient pour... | |
 | 1821 - 512 strani
...aussi que, pour ne se trouver étonnée , quoi qu'il arrivât de cette entreprise , elle se devoit résoudre au pis ; qu'il ne croyoit pas que la ville de Paris se voulût révolter pour M. le prince 5 que M. Mirón , prévôt des marchands , et le chevalier' du Guet, lui avoient^pporté l'état des... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 642 strani
...représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis; qu'il ne croyoit pas que la ville...Reine pensât en elle-même lequel elle aimoit mieux, ou abandonner son entreprise et laisser les affaires dans le péril dans lequel elles étoient pour... | |
 | Armand Jean du Plessis duc de Richelieu - 1823 - 774 strani
...étonnée , quoi qu'il arrivât de cette entreprise , elle se devoit résoudre au pis; qu'il ne oroyoit pas que la ville de Paris se voulût révolter pour...possibles , il étoit à propos que la Reine pensât eu elle-même lequel elle aimoit mieux, ou abandonner son entreprise et laisser les affaires dans le... | |
 | Armand Jean du Plessis duc de Richelieu - 1823 - 700 strani
...représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis ; qu'il ne croyoit pas que la ville...nombre de ceux dont l'on devoit avoir crainte étoit pet1t. Néanmoins que, comme toutes choses sont possibles, il étoit à propos que la Reine pensât... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1837 - 648 strani
...représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis; qu'il ne croyoit pas que la ville...Reine pensât en elle-même lequel elle aimoit mieux , ou abandonner son entreprise et laisser les affaires dans le péril dans lequel elles étoient pour... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1837 - 638 strani
...représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis; qu'il ne croyoit pas que la ville...que, comme toutes choses sont possibles, il étoit ù propos que la Reine pensât en elle-même lequel elle aimoit mieux, ou abandonner son entreprise... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1837 - 646 strani
...représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis ; qu'il ne croyoit pas que la ville...Paris se voulût révolter pour M. le prince; que M. Mirón, prévôt des marchands, et le chevalier du guet, lui avoient apporté l'état des capitaines... | |
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Bouillon , étoient le matin venus au Louvre. Il lui représenta aussi que, pour ne se trouver étonnée, quoi qu'il arrivât de cette entreprise, elle se devoit résoudre au pis; qu'il ne croyoit pas que la ville de Paris se voulût révolter pour M.... 
