Oeuvres morales de Plutarque, Količina 5Didier, 1844 |
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Stran 363 - II est une opinion qui remonte à la plus haute antiquité, qui des théologiens et des législateurs a passé aux poètes et aux philosophes, dont le premier auteur n'est point connu, mais dont la persuasion ferme et inaltérable est établie non seulement dans les traditions humaines, mais dans les mystères et les sacrifices, chez les barbares comme chez les Grecs. Elle nous enseigne que l'univers ne flotte point au hasard sans être gouverné par une puissance intelligente, que ce n'est pas une...
Stran 383 - C'est peut-être dans le passage suivant du traité De Iside et Osiride que se trouve exprimée le plus clairement l'opinion du moraliste : « Nous ne croyons pas qu'il y ait des dieux différents chez les différentes nations, qu'il y en ait de particuliers pour les Barbares et pour les Grecs, pour les peuples du Nord et pour ceux du Midi. Comme le soleil, la lune, le ciel, la terre et la mer sont communs à tous les hommes, quoique chaque nation leur donne des noms différents, de même cette raison...
Stran 350 - Typhon la mer ; ils ajoutent qu'Osiris est en général le principe de toute humidité, la source de toute production, la substance de tous les germes ; que...
Stran 390 - Plutarque3, il survient une chaleur excessive et pernicieuse qui produit ou des épidémies ou d'autres calamités extraordinaires, les prêtres font choix de quelques-uns des animaux sacrés, et, les emmenant avec le plus grand secret dans un lieu obscur, ils cherchent d'abord à les effrayer par des menaces ; si le mal continue, ils les égorgent et les offrent en sacrifice, soit pour punir le mauvais génie, soit comme une des plus grandes expiations qu'ils puissent faire.
Stran 294 - Il, p. 398. fut son objet dans sa première institution ; car, au rapport d'Aristoxène dans son premier livre de la musique, ce fut sur le mode lydien que l'ancien Olympe composa son air de flûte sur la mort de Python. Quelques auteurs attribuent à Mélanippide l'invention de ce mode, et Pindare, dans ses péans sur les noces de Niobé, ditqu'Anthippe fut le premier qui fit usage de l'harmonie lydienne. D'autres, comme- Denys surnommé flambe, disent que ce fut Torèbe.
Stran 295 - Une preuve évidente que ce n'est point par ignorance que les anciens se sont abstenus de la trite, dans le mode spondiade, c'est qu'ils l'ont employée dans le jeu des instruments.
Stran 386 - ... et que tous les êtres sont des productions de Saturne et de Vénus. Les Phrygiens, qui croient que Dieu dort pendant l'hiver et qu'il se réveille l'été, célèbrent, dans ces deux saisons , deux bacchanales , dont la première est appelée assoupissement, et la seconde réveil. Les Paphlagoniens disent que, durant l'hiver, Dieu est lié et emprisonné, mais que l'été il brise ses liens et reprend son activité.
Stran 298 - II ya trois milieux primitifs d'où se prennent tous les autres, l'arithmétique, l'harmonique et la géométrie. Le premier surpasse et est surpassé d'un nombre égal ; le second d'une raison égale ; le troisième ne surpasse et n'est surpassé ni de raison égale ni de nombre égal. Platon, «Voulant donc démontrer harmoniquement l'accord des quatre éléments dont l'âme est composée, et la cause de ce concert réciproque entre des natures si dissemblables, place dans chaque intervalle, pour...
Stran 334 - Péluse était une ville de la Basse-Egypte qui donnait son nom à une des embouchures du Nil près de laquelle on l'avait bâtie. Son nom, qui fut l'inventeur de la musique. D'autres prétendent que Maneros n'est point un nom d'homme, mais une espèce de formule usitée dans les festins et dans les fêtes, par laquelle on souhaitait que ces divertissements fussent heureux ; car c'est là ce qu'exprimé le mot maneros qu'ils répètent si souvent dans ces occasions.
Stran 39 - ... trois fois la première : une quatrième double de la seconde : une cinquième triple de la troisième : une sixième égale à huit fois la première : une septième égale à vingt-sept fois la première.