Mémoires de la Académie impériale des sciences, lettres et arts d'Arras, Količine 27–28 |
Vsebina
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Pogosti izrazi in povedi
administratif Amiens ancien membre résidant Arras artiste Artois Atrébates aurait avaient avez bataille bataille de Waterloo Belgique BERTRAND Raymond Billet Blücher Bruxelles Bulow c'était César chants Chateaubriand choses cœur collége d'Arras collègue Comius concours conseil général Danvin Derbigny devait Dieu dire Dissaux docteur en médecine Doncre Douai époque esprit études fable forêt de Soignes Gand génie gloire gouvernement Grouchy HERLINCOURT homme de lettres honorable hospices humaines impérial jamais jour juge justice l'abbé l'Académie d'Arras l'armée l'art l'artiste l'Artois l'auteur l'Empire Romain l'esprit l'étude l'histoire l'homme l'Institut laissé Lecesne Lesueur lutte maître mémoire ment mérite Messieurs monde monuments morale moyen-âge noble œuvres PARENTY Pas-de-Calais passé peintre pensée peuple Philis philosophie poésie poète poétique président princes PROYART Prussiens qu'un Quatre-Bras Quènes raison reste retraite revenu rien saint science sentiment serait sérieux seul siècle sion sociétés savantes sorte St-Omer St-Preuil succès tableau talent tion travail trouve trouvères Vercingétorix vérité Waterloo Wavres
Priljubljeni odlomki
Stran 46 - La curiosité n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau, mais pour ce qui est rare, unique, pour ce qu'on a et ce que les autres n'ont point.
Stran 11 - Que votre âme et vos mœurs, peintes dans vos ouvrages, N'offrent jamais de vous que de nobles images.
Stran 11 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Stran 183 - Je traversai le chemin et je m'appuyai debout contre le tronc de l'arbre, le visage tourné du côté de Bruxelles. Un vent du sud s'étant levé m'apporta plus distinctement le bruit de l'artillerie. Cette grande bataille, encore sans nom, dont j'écoutais les échos au pied d'un peuplier, et dont une horloge de village venait de sonner les funérailles inconnues, était la bataille de Waterloo...
Stran 16 - ... obéissance. Plus sensible au souvenir des bienfaits qu'à celui des outrages, il ne se rebute pas par les mauvais traitements ; il les subit, les oublie, ou ne s'en s'ouvient que pour s'attacher davantage ; loin de s'irriter ou de fuir, il s'expose de lui-même à de nouvelles épreuves ; il lèche cette main, instrument de douleur, qui vient de...
Stran 45 - Dont l'éternel rempart protége la Russie. Ils avaient tout dompté... Le destin des combats Leur devait, après tant de gloire, Ce qu'aux Français naguère il ne refusait pas, Le bonheur de mourir dans un jour de victoire. Ah ! ne les pleurons pas ! sur leurs fronts triomphants La palme de l'honneur n'a pas été flétrie ; Pleurons sur nous, Français, pleurons sur la patrie : L'orgueil et l'intérêt divisent ses enfants.
Stran 150 - ... sans caractère. Le génie est une perception prompte et sûre de la juste proportion dans laquelle l'idéal et le naturel, la forme et la pensée se doivent unir. Cette union est la perfection de l'art : les chefs-d'œuvre sont à ce prix.
Stran 15 - ... il entend les signes de sa volonté ; sans avoir, comme l'homme, la lumière de la pensée, il a toute la chaleur du sentiment, il a de plus que lui la fidélité, la constance dans ses affections : nulle ambition, nul intérêt, nul désir de vengeance, nulle crainte que celle de déplaire; il est tout zèle...
Stran 414 - Ils porteront, en tête, une épigraphe ou devise qui sera reproduite sur un billet cacheté, contenant le nom et l'adresse de l'auteur. Ces billets ne seront ouverts que s'ils appartiennent à des ouvrages méritant un prix, une mention honoraDle ou un encouragement ; les autres seront brûlés.
Stran 6 - Harpe dit vrai : il ne faut pas louer La Fontaine, il faut le lire, le relire. et le relire encore. Il en est de lui , comme de la personne que l'on aime : en son absence, il semble qu'on aura mille choses à lui dire, et. quand on la voit, tout est absorbé dans un seul sentiment, dans le plaisir de la voir. On se répand en louanges sur La Fontaine, et dès qu'on le lit, tout ce qu'on voudroit dîre est oublié ; on le lit, et on jouit.